Papy, c’est difficile de croire ce que tu dis... cette vie simple, cette pauvreté, ce manque de tout, vos loisirs si minces...alors que maintenant on en souffrirait !
La salle était énorme pour ce petit rassemblement de personnes. L’endroit devait être nettoyé quotidiennement, mais comme tout vielle battisse industrielle, la poussière semble faire parti des murs. Ces derniers était d’un gris pesant, un gris qui rendrais (…)
Le feu dans la cheminée s’était endormi et la chaleur avait laissé sa place à une odeur lourde, indéfinissable et d’une puanteur épouvantable. Les murs dégoulinaient d’aliments séchés. Des morceaux de verre étaient disséminés un peu partout. La grande (…)
25 février 2024, par NAVARRO GÉRARD
Bonjour,
J’ai eu le plaisir d’enseigner le français au collège Brossolette à BeniSaf durant neuf ans jusqu’en juillet 1976,au titre de la coopération culturelle.
Durant ces années j’ai eu Mohamed Benallal comme élève et comme voisin lorsque j’habitais Plage du puits. Sa maman m’a laissé le souvenir d’une dame d’un grand courage pour laquelle j’avais beaucoup d’admiration.
Je suis heureux de rendre hommage ce soir à Mohamed et de le
féliciter pour la finesse de ses analyses auxquelles j’espère qu’il ajoutera de nouvelles observations.
Cordialement,
Gérard Navarro