Soit ton propre sauveur, c’est tout de suite qu’il est l’heure !
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29 novembre 2019, par Hubert GORIUS
Merci Maryse pour votre très juste description qui montre toute la sensibilité que vous avez ressentie. Bien cordialement.
28 novembre 2019, par Maryse
Un livre attachant où le mal-être d’un jeune homme en proie à la dépression, confronté à la sensation d’avoir perdu le goût de vivre, celui de penser rationnellement, de contrôler son corps et ses émotions, nous est révélé par une étonnante justesse de l’écriture.
Le personnage principal, dépeint sur un socle familial instable, nous apparaît proche et sympathique. On entre dans l’histoire par la porte de l’incompréhension et on poursuit par un couloir de flashback qui nous dévoilent des pans de l’histoire.
Un beau roman dur certes mais sensible.
23 septembre 2019, par Romaine
Bien sûr le mal être de Romain ne peut laisser indifférent. Difficile de se sortir de cette déprime malgré toutes les mains tendues.
Mais je dirais que lui au moins il à l’argent qui à pu lui permettre d’éviter l’hôpital psychiatrique et de gérer sa vie comme il le voulait.
Il ne s’est pas retrouvé dans la rue, sans le sous. Pour ce pousser un peu, il aurait pu penser à pire que lui et arrêter d’être aussi personnel.
Jusqu’à la fin, il fuit sans se soucier du mal qu’il fait sur son passage et laisse derrière lui.
Je suis modérée sur mon avis, car j’ai trouvé ce livre très déprimant à lire (aucun rayon de soleil) et je pense qu’il vaut mieux le lire lorsque
l’on est "bien dans sa tête".
Je vous souhaite bon courage et espère que votre prochain livre sera plus optimiste
^ 24 septembre 2019, par Hubert Gorius
Merci pour votre commentaire. Je comprends l’impression mitigée que vous donne le thème abordé . L’histoire s’inspire en partie de faits réels qui se sont conclus malheureusement par un suicide. Romain le personnage du roman ne franchit pas définitivement cette étape. Qu’en sera -t-il plus tard ? Vous avez noté qu’il disposait d’une aisance financière qui aurait pu lui permettre de gérer sa vie librement.Il reste cependant très détaché de la question matérialiste. Vous répondrez et vous aurez raison que c’est plus facile quand on n’a pas à se préoccuper de la fin du mois. On peut se dire que l’argent ne fait pas le bonheur.
Vous notez aussi que Romain fuit sans se soucier du mal qu’il fait sur son passage et laisse derrière lui.
C’est un comportement que l’on trouve chez certains grands dépressifs qui semblent en vouloir à la terre entière. Il y a aussi chez Romain la peur de l’abandon. Il fuit celle qu’il aime par peur d’être abandonné. Au final, il regrettera à jamais cet amour perdu.Le mal être de Romain vient de son enfance avec un repli sur lui même qui marque le début de sa névrose.Je suis sensible à la souffrance chez l’enfant parfois ignorée par le monde des adultes. Bien cordialement.