Thème :
Littérature
La quatrième de couverture
Ce roman nous plonge au cœur d’un royaume couvert par la dynastie. Un royaume riche qui a connu une crise sociale, entrainant sa chute.
La première page
L’eau des rivières et de la pluie qui jaillisse du ciel, ruisselait depuis de longue distance et coulait à flots des masses de roches ancestrales dans la longue et claire vallée inspirante. Les arbres et les herbes, ces vivants, ne cesseront jamais de danser tant qu’ils auront leur pied couvrir par le sable, sous cette terre peint au rouge, parfois noire et le vent en vagabondage entres leurs branches et dans les coins, mêmes s’amuser sur l’océan à hausser les vagues aussi haute pour effrayer les sous-marins. Les mouettes s’en jouissent pour leur plaisir, en chantant, en dansant, au-dessus de cet étendus d’eau salée, bouillonnante, mais avec prudence, comme les cerfs dans la jungle à l’écoute des pas de leurs dabs carnassier, affamés pour vite s’échapper devant leurs canines longues et tranchantes. Seul les collines, les déserts et les îles ont l’air silencieux et innocent dans le royaume de la Terringa.
Pourtant une immense terre de ce royaume se prolongeait dans une révolution brillante où les ancêtres, s’évaporent, pour laisser place à de grands bâtiments, hauts comme vastes autour desquels s’étendent des routes revêtus, bordées par de grosses lampadaires dont les lumières de toutes couleurs - blanches, orange, jaunes et autres – clignotant, déchirant l’obscurité de la nuit noire. Des véhicules personnels et de transports passent et repassent avec différentes sons de vrombissement, guidant bien leur volant et leur guidon de révolution vers la révolution. Un progrès sans pause et un passé disparition. Les écrans lumineux allongés dans les mains des habitants, les aident à faire virtuellement le tour du monde, à ignorer ou à accepter la vérité ou le mensonge que défilent leurs doigts, tantôt vers le haut, tantôt vers le bas. Même les marchés et les villages ont été réinventés et les jeunes comme les vieillards en bénéficient autant. Dans les bars, dans les maquis des chansons agréables, des danses, des fêtes et autres loisirs modernes fleurissent. Les faisceaux de l’histoire de la terringa apparaissent sur ce bâtiment gigantesque de la maison royal situé dans cette ville appelée ‘’la gueule du lion’’ ; il est connue par son architecture, impressionnante, qui témoigne d’un royaume riche et amoureux de ses ressources naturels, de son talent, de ses valeurs et de son art. Il était formé d’un bloc de pierre cassée de roche, de granit et de calcaire, large et haut avec plusieurs successifs d’étages, proches des nuages, fixé debout comme un soldat au garde-à-vous, percé de plusieurs ouvertures et tenir par plusieurs gros poteaux, de formes variées qui assurent son équilibre. Des statuts ornent sa cour gazonnée, bordée par de fleurs brillantes. Ce palais est entouré d’une haute clôture de plusieurs kilomètres, dont les murs sont colorés et sculptés des guerriers, des cavaliers, des animaux sauvages comme le requin ; symbole rendant hommage au premier roi du royaume de la Terringa.
Je suis GAHOU Laplace Amoussou. Né le 12 juin 2001 à Godomey. Je suis titulaire d’une licence professionnelle en analyses biologiques et biochimiques. Actuellement en Master de recherche en génétique, biotechnologies et ressources biologiques.