Accueil > Poésie > OURAGAN : QUAND AAGAN CROISE ZANGAN
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
OURAGAN : QUAND AAGAN CROISE ZANGAN est un recueil de (07) sept poèmes. Cokou CODJO BLIGUI nous présente ici, sous un jour radieux, les réalités du monde que le groupe social considère avec une opinion de dédain. Chers lecteurs, ce n’est pas la logique qu’il faut mettre en avant en lisant cette œuvre ; c’est plutôt votre capacité à ressentir les dits qui est mis à l’épreuve.
Si vivre est beau, mourir l’est plus encor ! Il n’y a que ceux qui n’ont jamais vu le cadavre D’une jeune fille aux mamelles qui enivrent Qui puissent se targuer avec vanité d’abord De la permanente rêverie Que constitue la vie.
La plupart des poèmes regroupés dans ce recueil se présentent comme des intrigues narratives. L’auteur y exprime sa conception, ses impressions, ses émotions, etc. sur plusieurs thèmes en nous présentant parfois, des personnages thématiques. Ce qui porte à (…)
2021
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26 septembre 2020, par Frédéri MARCELIN
Inégal, mais parfois flamboyant, J’aime.
9 juillet 2020, par Afdal ADJIBADE
Quand l’escargot vit Sous une pluie de vie Sa coquille ne sert pas de racloir pour une marmite Humainement bâtie par mythe !
Compagnon de plume, courage et continue de besogner !
Afdal ADJIBADE ✍️
^ 13 juillet 2020, par Cokou CODJO BLIGUI
Cher collègue ADJIBADE, je vous promets que je travaillerai sans arrêt, puisque <> . Quand le propriétaire d’un amas de sable Fait son voyage dans l’au-delà, Ses marques demeurent toujours sur le sable. Sur le monde, mon empreinte demeurera.
Tu partis sans un mot, sans laisser ton regard enlever à tes pas le son lourd du départ, et donner à l’adieu la joie de l’au-revoir, mais tu n’as pas tué dans mon coeur l’espoir.
Ce livre de poèmes, ces derniers sont composés essentiellement en vers rimés dénommé " le paradis des vers ", cette dénomination est avant tout un sentiment du cœur venant de l’auteur pour exprimer quelques émotions aux regards de la société.
Voici mon dernier recueil, forme nouvelle mêlant prose et versification. Odyssée dans le particulier et le général d’une histoire. Suivre un couple comme un être à part entière qui nait vie et finit par mourir. Je vous souhaite une bonne lecture.