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Au-delà de la souplesse, de l’esthétique des vers et de la mélodie poétique, lisons chez Cokou CODJO BLIGUI une poésie bio centrique qui, se jouant de la muse, nourrit l’ambition de "dire la vie". La pertinence des thèmes que brosse sa plume nous place à l’hôtellerie de l’évidence vitale, mais refuse cependant de nous en donner la clef, comme Descartes scellerait volontiers celui de l’hôtellerie où il a logé l’évidence de la vérité.
Extrait de la Postface de Théophile Sèwanou
La plupart des poèmes regroupés dans ce recueil se présentent comme des intrigues narratives. L’auteur y exprime sa conception, ses impressions, ses émotions, etc. sur plusieurs thèmes en nous présentant parfois, des personnages thématiques. Ce qui porte à croire qu’il voudrait bien nous faire vivre ses idées, le monde qu’il peint d’une manière ou d’une autre.
On peut le qualifier d’ « Humaniste » car, il se préoccupe de sa société et des problèmes qui y règnent. Vu qu’il présente les réalités de cette société, il les dénonce, comme le dirait Jean-Paul Sartre.
Codjo Bligui nous fait voyager dans un monde dont il est le seul à détenir les clés authentiques des divers symboles qu’il manipule. Le lecteur ne fera que les ressentir.
Extrait de la Préface de Damien SEDEGNAN
Si vivre est beau, mourir l’est plus encor !
Il n’y a que ceux qui n’ont jamais vu le cadavre
D’une jeune fille aux mamelles qui enivrent
Qui puissent se targuer avec vanité d’abord
De la permanente rêverie
Que constitue la vie.
Recueil de poèmes écrits entre 1970 et 2017, évoquant les meurtrissures du monde.
Il s’agit d’un recueil de poèmes montrant la façon dont l’Homme tente de s’émanciper
Sans penser à rivaliser avec CORNEILLE, LAMARTINE, Jean-Jacques ROUSSEAU ou Philéas LEBESGUE, qu’il admirait, Honoré Constant Michel HARMAND a beaucoup écrit, principalement des poèmes, à raison d’un par jour, pratiquement, et aussi des pièces de théâtre, jouées (...)