Accueil > Fantastique > Noir
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Le noir. Pas un bruit. Impossible de savoir si ses yeux sont ouverts ou fermés, pour cela il lui faudrait les toucher, mais il ne le peut pas. « Je suis où, là ? Est-ce que je dors ? » Pas moyen de rassembler ses idées. « Ben... Ouais, je m’appelle Benjamin Mears, ...bon, ...c’est un début. Et je suis où, là ? Et d’abord, comment je suis arrivé là ? » AOOOOUCH !!! « Aïe !!! Je sais pas où je suis, mais en tout cas c’est bas de plafond !!! Aïe !!! Après le front, la main ! Pas moyen de se masser la tête ! » « OOOHHHHEEEEEE !!!!! Y a quelqu’un ? » Rien. Le silence...
D’un geste sûr, il sortit son portefeuille de la poche droite de sa veste, c’est là qu’il se trouvait, c’était toujours là qu’il se trouvait. « Tom Mills, 1880 Creston Road » pouvait-on lire sur la carte d’identité, mais cet homme n’était pas Tom Mills, (…)
2005
Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.
Veuillez laisser ce champ vide :
22 février 2007, par Daniel Fattore
Difficile de commenter sans déflorer le récit... Juste une invraisemblance, toutefois, à mon avis : si la terre tombe encore sur la bière, c’est que celle-ci n’est pas encore enterrée. Donc on aura sans doute entendu le bonhomme en train de cogner... Par ailleurs, ne pas oublier que de nos jours, on délivre des permis d’inhumer pour des personnes qui sont vraiment mortes.
Bien envoyé, cependant, avec une chute qui suggère un truc excellent. Et l’alternance entre ce qui se passe et ce qui se dit dans la tête du personnage est pertinente et bien gérée.
21 février 2007, par pauline gonnaud
génial ! une histoire courte, bien menée, on ne s’ennuie pas, il y a une bonne chute surprenante mais en fait pas tant que ça quand on y repense, ...bref !une histoire comme je les aime...merci
j’en espère d’autres...
5 avril 2006, par anaïs
Bravo c’est tres beau J’ai beaucoup aimer et je suis vraimen rentrer dedans
^ 7 avril 2006, par Toni
Sympas et angoissant. Une situation qu’on aimerait pas vivre !
^ 18 avril 2006, par gothika
si je comprends bien, il a été enterré vivant ? ou alors il est mort ?
^ 19 avril 2006, par Kentuckty
Il était dans le coma et on l’a cru mort. Donc on l’a enterré mais il sort du coma une fois dans son cercueil, pdt qu’on l’enterre.Tu t’imagine la haine, à quelques minutes près ! A la place du mec j’aurais la rage de pas m’être réveillé plus tôt !
13 avril 2006, par Kentucty
Bien joué julien l’histoire est bonne et tu te débrouille bien pour écrire. J’ai moins appréçié "le camélélon"et c’est pour ça que je n’y laisserait pas de mot...mais cette histoire la m’a vraiment plut alors si t’en à d’autres ds le genre vas-y hésite pa balance !Sérieux ça m’intéresse. à bientt j’espère slt.
Un baladeur qui rend fou, un miroir qui déforme la vérité ... Comment des objets si anodins peuvent-ils semer la mort et la désolation autour d’eux ? C’est ce que vont apprendre à leur dépens, Eric, Gracie et tant d’autres. Ils ne se connaissent pas mais (…)
Cela faisait quatre jours maintenant que Tom Bakermann était reclus à l’intérieur de son appartement. Il oscillait avec un certain brio entre folie et amusement.
Au collège, Gédéon Creil fait la connaissance de Geoffroy Barillé, un adolescent fragile et timoré de treize ans. Tous deux partagent le même engouement pour les univers fantastiques et deviennent inséparables