« La vie est un poème ; vivre c’est poétiser » écrit l’auteur. Le lecteur rencontre les saveurs poétiques de « la vie » au parcours de ce recueil. Une poésie pénétrante et suave, un petit chef-d’œuvre qui emporte celui qui s’y plonge dans un rêve éveillé. (…)
Les événements tragiques du 5 octobre 1988, un des printemps algérien de la révolte, ont suscités un élan d’écritures des plus extraordinaire et à l’ombre des régimes sanguinaires et des despotes, que le pas a connu depuis son indépendance politique en 1962.
Cet ouvrage est le fruit d’une imagination poétique, linguistique, se désirant nouvelle, à travers une esthétique progressiste, un genre ou se conditionne une littérature exponentielle, tels des cristaux animistes, des évasements cellulaires,