Accueil > Fantastique > Mme Harper
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Je sais que c’est la fin. Je sens que je vais bientôt mourir. Je n’ai même pas mangé. Je ne sais même pas si je pourrais terminer cette lettre car elle est ici, dans la maison et Maman ne chante plus.
A cette époque, le froid avait déjà fait son arrivée et la nuit tombait de plus en plus tôt.
Moi, j’aimais bien me rendre chez Mme Harper après la classe, car elle était très gentille. Je prenais le goûter avec elle, maman était d’accord. Enfin, elle était d’accord parce que je lui disais que j’allais chez Ben. La maman de Ben et la mienne se connaissaient bien. Elle ne s’est jamais aperçue que j’avais menti. C’était très agréable chez Mme Harper. Il y avait beaucoup de tableaux d’art, c’était bien décoré et il y avait toujours une bonne odeur de gâteaux. Il y avait aussi des chats. Elle les aimait bien et s’en occupait bien. Elle donnait à manger aux chats chaque fois que je venais. C’était rigolo.
Un jour, je me souviens qu’elle n’avait pas voulu que je rentre chez elle avant qu’elle me le dise. Elle était peut-être occupée ou je ne sais quoi d’autre. Ce jour-là, elle était venue m’ouvrir car elle avait fermé la porte à clé quand j’avais sonné :
– Comment vas-tu aujourd’hui, Henry ? Me demanda Mme Harper.
– Très bien.
– Ne reste pas dehors, rentre !
Je me souviens de ce jour...
Cette histoire, n’est sans doute pas une histoire quelconque. J’aimerais vous dire que c’est l’histoire d’un gentil petit chien ou encore qu’elle commence par : il était une fois. Mais cela serait vous mentir. Non, en fait, cette histoire est l’histoire (…)
2007
Un homme était assis au comptoir d’un bar du centre ville. Du haut de sa chaise, il fixait son verre vide d’un regard absent et faisait tourner son index à l’intérieur de celui-ci. Pendant un bref moment il s’était assoupi. Son verre se brisa par terre et (…)
2006
Je la voie toujours au même endroit, assis sur un banc, les mains entre les jambes. C’est une belle jeune femme. Elle porte toujours cette magnifique robe et ce petit gilet si attirant.
Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.
Veuillez laisser ce champ vide :
13 mars 2006, par toni
Salut, j’ai trouvé l’histoire assez sympas ainsi que le style de l’histoire mais je le trouve moins bien écrit que tes précédents. Je lui met 3 étoiles. En tout cas continus.
2 juin 2005
Je suis l’auteur de cette histoire et je vois qu’elle à était lue par 29 personnes. Personne n’a laissé de commentaire. Moi, j’aimerais avoir votre avis sur cette histoire.
^ 2 juillet 2005, par Little Red Rooster
Pas mal du tout, l’histoire part en crescendo et même si la fin est assez attendue c’est agréable à lire. Malheureusement les fautes d’orthographe sont un peu trop nombreuses et quelques phrases sont assez confuses. Je donne 3 étoiles quand même à cette histoire très "Kingienne".
^ 26 décembre 2005, par gotika
salut ! g trouvé l’histoire très cool ! continue à écrire des histoires !!!!!!
De nombreuses fois, j’ai tenté de dissuader mon ami et collègue, Herménégilde St-Louis - professeur de physique à l’Université Laval, de poursuivre ses recherches, que certains qualifieraient d’impies, sur l’anti-matière. Mille fois, je lui ai signifié que (…)
L’arbre majestueux s’étend à perte de vue. À perte de vue d’homme tout au moins. Son histoire dépasse l’entendement et prend naissance avec l’Univers luimême. Il est l’équilibre des mondes qu’il contemple, impassible.
En y resongeant, je crois que même un homme seul errant dans le désert a au moins la chance de pouvoir sentir la vie respirer autour de lui, que ce soit le souffle du vent brûlant, la morsure des rayons du soleil sur sa peau ou le sable dans lequel (…)