Accueil > Autobiographie - Témoignage - Autofiction > Les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Un petit livre électronique proposé par les élèves de la classe : 3ème année secondaire, lettres et philosophie Lycée : « Houari Boumedienne » à Oued Rhiou Année scolaire : 2015/2016 Les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata
Les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata sont des répressions sanglantes qui suivirent les manifestations nationalistes, indépendantistes et anti-colonialistes qui sont survenues en mai 1945 dans le Constantinois, en Algérie pendant la colonisation française.
Elles débutent le 8 mai 1945. Pour fêter la fin des hostilités de la Seconde Guerre mondiale et la victoire des Alliés sur les forces de l’Axe, un défilé est organisé. Les partis nationalistes algériens, profitant de l’audience particulière donnée à cette journée, décident par des manifestations de rappeler leurs revendications ; ces manifestations sont autorisées par les autorités à la condition que seuls des drapeaux français soient agités. À Sétif, un policier tire sur Bouzid Saâl, jeune scout musulman tenant un drapeau de l’Algérie et le tue, ce qui déclenche plusieurs émeutes et actions meurtrières des manifestants, avant que l’armée n’intervienne.
Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.
Veuillez laisser ce champ vide :
Ce confinement a de quoi tenter les beaux esprits. L’un d’eux a eu l’idée de "pasticher" la marquise de Sévigné, laquelle vous le savez, relatait les potins de la Cour à sa fille Françoise, comtesse de Grignan.
Nous reconnaissons dans ce mot de paranoésie qu’il est composé de deux éléments. Le premier tiré de paranoïa qui est folie, le second, venant de poésie, qui est également folie, du moins si l’on en croit certains adeptes fanatiques de la raison.
Mon livre raconte mes déboires familiaux mais aussi conjugaux, de mes 4 ans jusqu’à mes 53 ans....