Cette histoire n’a pas vraiment de péripéties et d’événement perturbateur, car ce récit se raconte un peu comme si on décrirait qu’un voyage touristique.
J’ai failli perdre mon sang-froid, me raconta un jour mon vieil oncle Giovanni.
Marcloux dans le borinage, octobre 2003. en cette fin de journée maussade, le vieil homme s’affairait au rangement de sa boutique. Elle se situait sur la place du village, et rien n’y avait changé depuis sa création cinquante ans plus-tôt. La peinture de (…)