Solitude entreposée et calme plat, c’est tout ce qu’il vit d’abord. Il ne trouva devant lui que cette étrange façade de pierres blanches et élimées, et entourée de forêts obscures et touffues. Au centre de la dite façade, se trouvait le relief souligné (…)
Après un détour en Franche –Comté, et sa rencontre avec Polska, p’tit Brochin, retrouve la cité gentille pour d’autres aventures cocasses... Rendant furieux son dentiste préféré, patientant rue de la corderie tout en écoutant ses voisins.
Le noir. Pas un bruit. Impossible de savoir si ses yeux sont ouverts ou fermés, pour cela il lui faudrait les toucher, mais il ne le peut pas. « Je suis où, là ? Est-ce que je dors ? » Pas moyen de rassembler ses idées. « Ben... Ouais, je m’appelle (…)
3 avril 2007, par pauline G.
génial ! suepr bonne chute !
mais attention toutes fois à des ereures de répétitions ou d’incohérence ("c’étais le soir" et "c’était la nuit" deux fois dans la même phrase ; l’incompréhension du "il" qui est un coup pour l’écrivain, un coup pour son personnage...)
un conseil : avant de publier la nouvelle, lisez la à quelqu’un et demandez-lui ce qu’il en pense, si tout est compréhensible...
merci beaucoup pour cette nouvelle très bien , malgrès mes critiques un peu rabas-joie
pauline G. (auteure)
PS : ces remarques ne sont ici que de simples conseils pour faire avancer l’auteur et elles ne remetent en aucun cas son talent !