Le texte dans sa matière brute, qui appelle la musique à son secours pour prendre chair... Chaque voix et chaque texte ont leur musique intime, certes ... Le mot chante toujours. Mais parfois il a besoin d’un autre support pour mieux dire.
2022
Personne ne connut par quel miracle elle sut tenir cette âme d’oiseau loin de la peine, roulant pour les fraîches nuits un nid de laine fait d’une vieille chaussette, laissant tomber de son déjeuner les nécessaires miettes, qui toujours le ramenaient, là, (…)
2024
Deux mouches à damier sont venues parader sous mon nez. Un cynips en quête d’une tige d’églantier m’a fait loucher, comme en apesanteur. Un bombyle m’a fait l’honneur de son vol stationnaire, puis il est allé ailleurs voir son bonheur, dans ce monde si (…)
2023
Ecrivain abenamien, abeng hugo dénonce les calamités qui pourrissent en particulier Abenam son pays et l’Afrique en général.
Difficile de suivre les pensées d’un professeur d’ethnologie comparée sur les sentiers de l’Anazomie. Les Pichus, dont il entreprend la chronique après des années d’un silence meurtri, sont-ils son vrai sujet d’étude ? Cet enseignant vieillissant et (…)
La Reconnaissance est un Livre qui m’a été inspiré du Très Haut, elle présente plusieurs vases de notre vie courante, plus l’aspect de reconnaissance de soi. Personne ne l’ignore je suppose que tous avons pour habitude de ne guère se pose la question de (…)
13 février 2021, par jmh
On quitte Jeanne avec regret. Ses joies, ses peurs et ses tourments prennent corps petit à petit. Ses sentiments ambivalents nous obsèdent jusqu’à l’infini. Heureux de voir que Jeanne à bien franchi le pont...
^ 14 février 2021, par de Monte Sylvie
Bonjour
Merci de votre gentillesse...
Jeanne a bien franchi le pont, sans doute...mais Asperger ne s’en va jamais ...puisqu’il s’agit de cela.
Les censeurs de l’enfance et de l’adolescence restent les mêmes à l’âge adulte.
Mieux vaut vivre caché.
Bonne journée à vous...et prenez soin de vous, selon la formule consacrée actuellement.
de Monte Sylvie.
^ 16 février 2021, par jmh
Bien sur, j’aurais du dire UN pont... Quant à vivre caché, on peut faire comme pour la lettre cachée...plus difficile mais pas impossible...Je me suis engagé dans la lecture de vos autres oeuvres. Votre vision du monde m’interpèle beaucoup et me bouleverse aussi...A suivre...
13 octobre 2020, par Frédéri MARCELIN
Bonjour Sylvie.
Le préambule "Les limbes" à votre roman le Coquelicot, que j’ai lu et relu, est magnifique, j’ai vraiment adoré. Vous êtes mon contraire, j’ai une forte tendance à faire court, vous êtes dans l’excès opposé.
Votre style est agréable, vous semblez écrire comme une rivière quoi coule...Mais franchement, c’est trop long, En tout cas bravo, et bonne continuation...Comme ils disent dans les restaurants.
F. Marcelin
^ 13 octobre 2020, par de Monte Sylvie
Bonjour
Trop long ?
Peut-être...
Peut-être pas ...
Je peux aussi faire court : le Picotin ... Marée Basse ...Ou changer de genre : lette à un petit zèbre ...
Cordialement.
:-))
25 août 2019, par Odile Scappaticci
J’ai beaucoup aimé ce livre,certains passages m’ont paru un peu longs, mais nécessaires .
Cette belle expérience à permise à Jeanne de grandir et de s’accepter.
As t’elle bien comprise qui était vraiment Lisette ?
J’espère que beaucoup d’ados découvrirons votre livre et bonne continuation
^ 29 août 2019, par de Monte Sylvie
Bonjour,
Merci de votre gentille appréciation.
Cela me touche beaucoup.
Qui était vraiment cette Lisette ? Jeanne l’avait-elle bien compris ?
Je ne le sais.
Dans le roman, Lisette est un personnage pas très sain, lui-même en devenir. Jeanne aura au moins su lui échapper - et, paradoxalement, grâce à son " handicap"- pour connaître sans rien demander à personne, au moment venu,
son "heure de gloire"...
Cordialement.
de Monte Sylvie.
23 février 2022, par BROUDIC Armelle
Pas envie de laisser Jeanne, des longueurs peut-être, comme disent certains mais c’est mieux, ainsi on ne la quitte pas trop vite.