Jules, jeune chrétien diplômé et sans emploi qui ne supporte plus voir sa famille mourir de faim. Pour cela, il décide d’aller en aventure pour trouver un emploi et sauver sa famille de la pauvreté. Dans ce combat, il ne rencontre que des personnes mal (…)
2020
Le livre parle d’un individu vivant dans une environnement sa issue à côté d’un papa violent dont il l’aime beaucoup. Dans la poursuite de sa vie, il rencontre la Christelle, la fille de ses rêve.
2020
La question essentielle à laquelle nous tenterons de répondre à travers ce livre se formule ainsi : L’entrepreneuriat par son ampleur croissante (nombre d’entreprises et travailleurs) et son extension rapide ne signifierait-il pas de profondes mutations (…)
Dans cet espace imperméable qu’est la ville, on se protège de l’eau : l’étanchéité est l’objectif des constructeurs. L’eau de pluie est donc vite évacuée, cachée dans les tuyaux (réseau fluvial), rejetée dans les cours d’eau avec les polluants des rues et (…)
Abdelhamid BENZINE (1926-2003) est plus qu’un journaliste d’Alger-républicain, ce 1er quotidien francophone anticolonialiste. Il est un militant de la cause indépendiste et de la lutte nationale démocratique pour plus d’émancipations en Algérie. Pour le (…)
1er décembre 2020, par Frédéri MARCELIN
L’expérience montre que les relations familiales sont toujours plus ou moins conflictuelles. La famille est subie, jamais choisie. De fait, elle n’est souvent pas une base solide pour des relations harmonieuses. L’union contractuelle femelle mâle, femelle, femelle, ou mâle, mâle, est-elle nécessaire, et doit-elle être permanente. Les enfants ne seraient-ils pas mieux éduqués par un groupement de parents et grands-parents que par leurs propres parents, fréquemment déficients ? Dans un système où la seule valeur reconnue est le respect, les enfants sont des individus à part entière, et ne sont la propriété de personne en particulier.
Vous faites le panégyrique de la grande et belle famille sub-saharienne, mais je suis certain, que les relations entre les individus sont les mêmes à Paris et à Cotonou. Faire intervenir un dieu dans ce fatras familial est un peu dérisoire, et déresponsabilisant. Quant à contenir la femme dans son rôle de mère et d’épouse est une aberration.
Ceci dit votre analyse est le reflet de mauvaises conditions de vie. La survie humaine ne sera possible qu’avec une réduction drastique de sa population. Mettre au monde des enfant qui pour la plupart ne connaitrons que la misère et l’espoir, est un crime.
^ 4 janvier 2021, par Fabrice Douanla
Merci beaucoup pour cette lecture objective m. Frédéric. Il est important que je puisse dire quelque chose par rapport à votre analyse. Réduire la population ne pourra jamais changer les choses si et seulement si cette réduction de naissance n’est pas orientée vers le développement. Un couple sans moyens financier n’est pas obligé d’avoir 08 enfants. Comment pouvez-vous dire que ce raisonnement reflète m’a mauvaise condition de vie. Je pense plutôt que vous n’avez pas respecter les étapes d’une bonne lecture méthodique.
Votre dernière phrase retient encore plus mon attention. Car, ces parents qui mettent au monde des enfants dans les conditions de pauvretés n’ont pas aussi toujours le choix. Un homme sans emploi visite plus la femme que celui là qui est occupé. Je pense que survoler un document et en tirer des conclusions de manière subite est une preuve de la constipation méthodique dans une pensée offensive.
Dans mes prochaines rédaction, je ferai l’effort d’être plus explicite afin de bien me faire comprendre sans toute fois empêcher des critiques. Merci beaucoup monsieur Frédéric pour cette analyse. Nous sommes des citoyens du monde qui milite pour le courage. C’est alors que je dit : il serait mieux de vivre sans se laver que de porter des vêtements propres sans être libre. Merci pour ton attention...