Accueil > Policier et suspense > LE SYNDROME DE LA HAVANE
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Un mystérieux syndrome, dit le syndrome de la Havane, sévit dans les ambassades françaises. Des agents ont des sérieux problèmes de santé. On va engager un ancien policier pour tenter de percer le mystère de ce syndrome réel qui a affecté des agents américains à Cuba, mais aussi plusieurs ambassades françaises à Cuba et en Russie. Place à l’aventure !
Cela fait 20 mois que je suis enfermé dans cette cellule VIP de la prison de la Santé à Paris. Je dois ce séjour à 1 an d’incarcération provisoire et à ma condamnation à 20 ans de cabane, consécutive du procès à sens unique, qui s’est tenu après mon arrestation au Zénith de Paris, quelques semaines avant l’élection présidentielle, alors que je m’apprêtais à blesser – ou tuer, car serais-je allé au bout de mon geste ?, des pensées contradictoires me submergeant au moment de frapper, à la suite d’événements rocambolesques -, le candidat d’extrême droite Frédéric Zadourt. J’avais eu beau me défendre en expliquant que j’avais été mêlé à une magouille montée de toutes pièces par le commandant Antoine Steiner, de l’IGS, qui m’avait piégé par pur esprit de vengeance, rien n’y a fait, et, ce d’autant plus qu’il avait bénéficié, à la suite de "ce gros coup" – l’arrestation d’un dangereux terroriste islamiste ( !!! ), devant des millions de télespectateurs – d’une promotion éclair, placé en l’espace d’une soirée , à la tête de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure, la DGSI.
Huit mois se sont écoulés depuis mon procès, , je n’ai pas fait appel, le dossier ficelé par Steiner étant tellement bétonné que cela aurait été peine perdue et m’aurait coûté à la fois de l’énergie et de l’argent. Comme je suis considéré comme un "flic ripoux" je bénéficie d’une cellule dans le quartier VIP de la Santé, où il m’est arrivé de rencontrer des personnalités politiques, comme l’ancien ministre de l’intérieur Claude Guéant, qui est resté ici deux mois, Patrick Balkany, l’ancien maire de Levallois-Perret, célèbre pour ses ennuis avec le fisc, qui est sorti pendant quelques mois, mis sous bracelet électronique, mais qui devrait revenir pour avoir enfreint les règles, ou un chanteur, qui a connu son heure de gloire dans les années 80 et qui a des ennuis judiciaires à répétition pour ses penchants pédophiles, mais tous me tiennent à l’écart, car je suis considéré comme un dangereux terroriste, et on ne fréquente pas un terroriste, alors qu’en réalité, je suis un pacifiste, adhérent de la LICRA et de la Ligue des Droits de l’Homme ! et que j’ai été en fait contraint de jouer un rôle, qui m’a dépassé, , ce que j’ai d’ailleurs consigné dans un long mémoire que j’ai remis à mon avocate, maître Lydia Novakovic, lors de sa dernière visite qui remonte à déjà 5 mois, et dont je n’ai plus eu de nouvelles depuis. Elle avait promis de faire parvenir mon mémoire à une de ses connaissances, un journaliste de la presse écrite, mais je ne sais pas si elle a tenu parole. Et rien ne dit que mon texte intéressera quelqu’un.
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