Accueil > Essai - Politique - Scolaire - Education > L’éveil à la religion de l’Islam et à la laïcité dans le Contexte scolaire (…)
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
La religion et la laïcité sont deux sources de conflits socio-culturels incessants dans le contexte scolaire qu’ailleurs. Ces conflits rongent le monde et la société tunisienne en particulier, chez les jeunes écoliers et universitaires, après la révolution de 2011. Dans cet article, nous nous intéressons à la religion de l’Islam et au sens de la laïcité. Il s’agit d’éveil aux pratiques effectives et aux avis favorables des pratiques religieuses (Islam) et de la laïcité. Dans cet article, nous nous intéressons à la religion de l’Islam et au sens de la laïcité. Il s’agit d’éveil aux pratiques effectives et aux avis favorables des pratiques religieuses (Islam) et de la laïcité. Notre intérêt est pour les enseignants qui peuvent approcher et discuter du problème du culte religieux et de la laïcité avec les élèves. Nous avons utilisé la méthode des études de cas à l’aide d’un questionnaire, nous avons interrogé des enseignants tunisiens et utilisé le logiciel SPSS 25 où les variables enquêtées avaient été catégorisées et codées. Les résultats ont révélé que l’éducation tunisienne minimise l’importance de la religion et de la laïcité et montre la résistance des enseignants à ces types d’éveil.
En Tunisie depuis 2011, la constitution de 2014 proclame, dans l’article 1 « Que la Tunisie est un état libre, indépendant et souverain, l’Islam est sa religion, l’arabe est sa langue et la république son régime ». Et dans l’article 39 « Que […] l’état veille aussi à enraciner l’identité arabo-musulmane et […] ». Or, l’organisation de la république et celle d’une société musulmane traditionnelle se contredisent sur beaucoup de points. C’est une des causes qui, malgré l’insistance dans la constitution sur la liberté de chacun, a soulevé beaucoup de problèmes qui ont survenu et ne cessent de survenir allant jusqu’à la violence, la diffamation, l’accusation de non croyance, jusqu’à des actes terroristes contre des tunisiens et des étrangers au nom de l’Islam, ayant laissé beaucoup de victimes. Ce qui explique l’intérêt que nous portons à cette question de la Religion et nous pensons qu’elle mérite aujourd’hui plus qu’avant un débat profond et large, touchant particulièrement les acteurs du système éducatif puisque ce dernier est censé former les futurs citoyens bien intégrés dans la société, et la question de religion est intimement liée à celle de la citoyenneté.
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Ce Tout, je l’appelle « Énergie infinie », le Sens des multiples commentS (d’où le S majuscule). Nous sommes nombreux à voir qu’une majorité de nos maux de société, et/ou individuels, relèvent d’un délitement apparent de ce qui fait sens.
Cet essai met l’accent sur la problématique du chômage sur un ton que l’on pourrait qualifier d’anti-politique. Dans sa finalité il interpelle le lecteur sur les causes réelles de ce problème et sur la possibilité de le régler.
Né en 1952 à Paris, Marcel Mandelkorn , grand-père de deux petites filles De parents israélites, ma famille a subi les pogroms de Russie et les ghettos de Pologne. La plupart sont morts dans la débâcle de 1939. J’ai toujours rêver d’éviter les pièges (…)