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En 1994, KKE fut porté sur la liste noire du GIA et cela par le groupe d’horde sauvage qui sévissait dans les hauteurs d’Annaba (ex-Bône). Il trouvera refuge chez des militants et amis « patriotiques et démocrates » à Bougie (Petite Kabylie). Aux côtés de Abdelhamid Benzine, Halim Mokdad, Noureddine Zenine et bien d’autres, KKE a su mener une réelle nouvelle aventure de ce quotidien militant, mais qui sera vite trahi par une nouvelle horde de renégats.
POUR UNE ETOILE DE PLUS…
Le soleil trébuche. L’enfant tombe
Le train ne peut pas s’arrêter
Les casernes se vident. Les masques tombent
La hogra a trop duré.
Un embryon de guerre lasse
De son cocon clame sa colère
Quelqu’un l’entend lui file une balle
Sa mère se plie comme un roseau.
Au nom de la vie
Comme aux temps des Bigeard.
Au milieu de la rue
Comme le plus doux murmure.
Sans haine sans rancune
Son sang elle a déversé.
- Qui a ouvert le feu ?
Un homme Jeune Fort et Beau
En tunique verte hautement décoré.
Victimes de la contrefaçon politique et idéologique des années d’indépendance politique, ils ne seront cités dans aucune anthologie littéraire algérienne.
2022
Les Algériens et la lutte antifasciste sont une facette bien glorieuse de cette même page historique. Celle des chefs collaborateurs du mouvement raciste et génocidaire est totalement occultée dans notre pays. Bien mieux, on a tenté de falsifier leurs parcours (...)
2022
Un illustre académicien des années 1920 et 1940 ? Un écrivain français aux allures paternalistes et paysagistes du verbe romanesque. Un académicien aux valeurs chrétiennes et sociales qui a visité l’Algérie en 1930 et 1934. Il est question de l’auteur de La Maison (...)
2022
Ce livre est un recueil de lettres d’amour écrites à mon compagnon et réciproquement entre les années 2008 et 2015.
Mon document est un recueil de textes poétiques qui font vivre la situation actuelle de la société.
Ces poèmes, volontairement limités en nombre, représentent la pensée profonde de l’auteur.
25 septembre 2020, par Mohamed-Karim ASSOUANE
A notre bel ami qui porte le nom d’une de nos belles plume du cher pays ami Haïti, la 1ère République de tous les Saints. K.K.E. est une plume combattante que la maladie emporta prématurément. Personnellement, je tente de recueillir ses articles de presse, ici en Algérie, qui sont d’une virulence inouie envers les réactionnaires islamo-FLNistes et dans la langue de Voltaire, non celle de Molière qui faisait rire les princes et les nababs. K.K.E. connaissait très bien l’histoire littéraire algérienne, pour me rappeler un jour que notre grand poète et militant Jean El-Mouhoub Amrouche, avait rencontré et à plusieurs reprises à Rome et à Paris de nobles écrivains et poètes haïtiens et des Antillais. C’est de cet abreuvoir que nous nous sommes que nous nous vivifions. Meilleures salutations respectueuses.
24 septembre 2020, par Frédéri MARCELIN
Belle poésie politique.
On en redemande.