Thème :
Policier et suspense
La quatrième de couverture
Flarex – Le Premier Éveil
Eduardo pensait être un adolescent comme les autres. Mais quand un incendie inexpliqué ravage sa ville, il découvre que le feu ne le fuit pas… il l’attend.
Propulsé dans un laboratoire secret, entouré de scientifiques énigmatiques et d’algorithmes instables, Eduardo devient Flarex — un porteur d’énergie incontrôlable. Ce qu’il brûle laisse des cendres… mais aussi des vérités que personne ne voulait voir.
Face à lui :
Un ami loyal, Firemen, dont l’humour est aussi explosif que ses flammes.
Une alliée, Falentia, gardienne des codes.
Et Wolfkillmen… silhouette glacée, masquée, qui observe, attaque, et attend son heure.
Manipulations, anomalies temporelles, affrontements entre feu et givre… Mais le plus grand danger n’est pas de tout perdre. C’est de ne plus savoir qui l’on devient.
🔥 Quand le monde se fige, une seule chose peut le rallumer : une volonté en feu.
La première page
Rome, 17 avril 2018. Le ciel était lourd, zébré de nuages sombres. Une pluie fine tombait sans faire de bruit, couvrant les toits anciens d’une brume légère. Dans les ruelles de Trastevere, Samenta De Canti marchait aux côtés de son fils, Eduardo, tout juste dix ans. Ils revenaient d’une conférence
scientifique tenue dans une université romaine où Samenta, chercheuse passionnée, avait brillamment présenté les propriétés vibratoires des éléments.
Eduardo tenait la main de sa mère. Il adorait ces soirées passées avec elle, à parler d’étoiles, de matière et d’impossibles théories. Elle avait ce don de rendre l’univers simple, presque tendre.
— Si tu regardes une étoile assez longtemps, elle finit par te raconter son passé, dit-elle, souriante.
— Et son avenir aussi ? demanda le petit garçon. — Son avenir est en toi, mon amour.
Ils rirent doucement. L’instant semblait suspendu. Mais derrière eux, dans le creux d’une ruelle, quelque chose remuait. Un souffle rauque, trop proche. Eduardo sentit un frisson glacial lui parcourir l’échine.
Un homme apparut. Grand, vêtu d’un manteau sale, une capuche sur le visage. Il ne cria pas. Il ne parla pas. Il marcha droit vers eux, l’arme déjà en main — un couteau long, incurvé, étrange, comme une lame de rituel. Samenta se plaça aussitôt devant Eduardo.
— Courez, Eduardo ! Vite !
Mais l’enfant resta figé. Et la lame frappa.
Une fois. Deux fois.
Je suis Doàn Nguyen j’ai 13 ANS J’adore écrire des Roman S-F , Action , etc.