Jean Ngouembe était un jeune boursier du cœur de l’Afrique venu dans la cité du martyr de la Chrétienté Africaine : Saint-Donat. En quittant l’Algérie en 1987, il laissa cette plaquette poétique derrière lui
La muse Quelque objet dont elle fut fière, un panorama sans rival Une fierté quelque peu grossière, comme dans une peau d’animal Elle étale son linge par terre, une robe de danseuse de bal Sa vie n’est qu’une prière, un souhait plus petit que le ciel
C’est un poème qui parle de la maladie, quelque chose qui tourmente des vies et même ceux qui sont plus fort dans ce monde , il en existe des maladies incurables que même les chercheurs du domaine n’ont pas encore donner des remèdes appropriées pour les (…)