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Accueil > Autobiographie - Témoignage - Autofiction > Confinement : « Le temps retrouvé »
Mes yeux s’ouvrent sur une tache de soleil filtrée par les volets clos. C’est la première chose que je vois. Avant, dans une époque que j’ai de la peine à imaginer maintenant, le cadre lumineux du réveil était ma première image de la journée.
Image programmée, car précédée du Bip, Bip, impérieux de la sonnerie. Ma première stimulation. Quelle heure est-il ? Qu’importe...Des arômes de café frais et de pain grillé m’envahissent, alors qu’en dilettante je pénètre dans la cuisine.Elle est vide, mais elle m’attend : nous avons du temps à vivre ensemble, c’est à moi de mettre la journée en marche. Je branche cafetière et grille pain, le réel des sensations prend le relais de l’imaginaire, la journée m’offre un temps indéfiniment malléable, il suffit que je me laisse guider par le fil ténu d’une volonté en harmonie avec la mienne. Peu importe la main qui tient ce fil, elle est bienveillante, incontournable, sereine.
Lorsqu’un étudiant romantique séjourne à Jouy-en-Josas, le village dans lequel Juliette (Drouet) et Victor (Hugo) ont décliné leur amour, tout peut advenir.
2022
Le choix d’un prénom est-il important pour le devenir d’un enfant ? Jeunes parents soyez vigilants quant à celui que vous choisirez pour votre descendant ! Lancelot vous met en garde.
2022
Dans le bureau de Maître Coquencourt,notaire de province, un passager clandestin observe et attend:sur son lit de papiers noircis d’encre, un galet, enlevé à la grève et à son destin minéral, s’adresse au lecteur. Récepteur omniscient des pensées de son (...)
2015
J’écris, j’écris... bientôt je ne saurai plus où mettre les cahiers que je remplis. C’est des kilomètres d’écriture. Oui mais c’est un petit cadeau que je m’offre chaque soir. Ce journal, c’est un petit « tête à tête » avec moi-même, une réunion, une (...)
Mon service militaire dura vingt-quatre mois de novembre 1960 à octobre 1962.
Faits divers en chirurgie esthétique est le récit de mon enquête dans un métier où l’abus de faiblesse aggravé est courant sous anesthésie générale, justifié par l’usage de faux.
3 mai 2020, par Emmanuelle
Une parenthèse, un instant d’éternité, une bulle de bonheur olfactive et enchanteresse. Bref
le bonheur du retour aux sources.
14 avril 2020, par belhomme laurent
Mme dousset ! superbe ! j’adore,et le concept de présent éternel (qui en cosmogonie,physique,et philosophie) est en grande discussion chez les chercheurs en ce moment m’as frapper !mais là est et n’est pas l’essentiel ; j’y suis encore dans le jardin,je sent chaque odeur,je voit les fiers strélitzias se tenir bien droit,je suis avec louis (qui doit être un petit blondinet)rue juliette adam marchant en arrière pour voir la baie sans un bateau,et ce parfum d’éternité qui ne vous plus après cette lecture ,est un moment rare.
C’est très beau,l’auteur as été traverser par la grâce,quand il rédigea ces lignes. Laurent Belhomme.
11 avril 2020, par Danielle Bagnis-Dousset
Cette nouvelle, inspirée par l’actualité, est à la fois une invitation , un message d’espoir, une prospective sur un futur incontournablement différent de l’après confinement, et une simple histoire où le merveilleux s’allie à la rêverie et l’imagination. Pour les enfants, les poètes, les "écouteurs" impénitents de d contes, amoureux de la nature, souffrant d’empathie chronique...