Jeudi 20 octobre 1960. Comme chaque matin, Landrieux allait prendre son train. Il passait tous les jours devant une cabine de photomaton.
En rentrant chez lui, Albert, spontanément porta la main à son noeud de cravate. Comme il n’avait pas de cravate, c’est à son col de chemise qu’il eut besoin de vérifier la mise. Il se sentait pressé d’agir. Il touchait enfin à son but. Rien qu’en y (…)
Quand je serai grande, je veux me marier avec Alan disait elle. Sa mère alors répondait, tu n’as que dix ans, il te faut attendre encore au moins huit ans, mais demande d’abord à Alan si il est d’accord. Elle me regardait, attendait une réponse (…)
30 juin 2020, par Marcel Normandin
Agréable à lire du début à la fin... plein de surprises à chacun des chapitres. Bravo !
^ 1er juillet 2020, par Pierre-Jean WEBER
Bonjour merci pour ce commentaire. Ravi que ça vous ai plu :-)
19 août 2017, par Pierre-Jean WEBER
Merci beaucoup pour ce beau compliment :-)
14 août 2017, par max axam
Tres bon livre,mieux que tous les gratuits que j’ai pu lire !une touche supplémentaire de sexe n’aurait pas fait de mal,la fin avec le jet un peu trop à mon gout.bravo !