"...et aboyer, et aboyer encore, comme ça, sans raison, simplement parce qu’on est content de son espèce toute entière, parce qu’on se trouve plus fort que le monde entier, et qu’on est content, content, content... Puis se rouler les uns sur les autres...
Témoignage imaginaire sur un frère disparu... l’arpenteur est un pamphlet au silence, un poème brut sur l’impossible réconciliation avec la vie, avec soi. Il est l’expression de carnets de voyages révélés à la lumière d’un rêve.
Un jour de l’année 1989, nous fîmes mon épouse et mes filles une agréable randonnée entre Gordes et Joucas, dans les gorges de Véroncle, nous étions accompagnés d’un ami d’enfance, sa femme et son fils. C’était à l’époque un endroit peu fréquenté, une (…)