Accueil > Littérature > Z’avez pas vu le wapiti ?
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Les bestioles sont partout. Ou volant, ou courant, ou nageant, ou marchant, ou rampant, ou se tortillant, ou dansant le quadrille. Que veulent-elles ? On ne sait pas. Elles ne disent rien ; elles ne s’expliquent pas ; elles attendent. Qu’attendent-elles ? Là encore, on ne sait pas. Leur silence agace, à la fin. Et inquiète. Ne dirait-on pas qu’elles nous cachent quelque chose ? Ou qu’elles fomentent, mine de rien, un mauvais dessein ? Le principe de précaution recommande d’en finir une bonne fois pour toutes avec elles...
Il va de soi (mais il est des évidences qu’il n’est pas inutile de répéter, tant on prend de plaisir à le faire – pourquoi se priverait-on d’une satisfaction aussi peu onéreuse ?) ; il va de soi qu’on ne discourra pas ici sur l’Abeille Bourbon, l’Abeille Flandre, l’Abeille Languedoc, non plus que sur l’Abeille Liberté. Ce n’est pas que l’envie nous en manque (l’éclectisme n’est pas pour nous effrayer), mais ces quatre abeilles-là ne sont pas des hyménoptères et, conséquemment, sortent du cadre strict de nos préoccupations animalières.
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19 janvier 2019, par Jeanne
Impressionnant votre livre ! Et d’un humour irrésistible. Je poursuis ma lecture avec jubilation.
^ 20 janvier 2019, par Antoine
Méfiez-vous de la jubilation : elle peut entraîner des problèmes digestifs.
19 janvier 2019, par Porphyre
Impressionnant. Et drôle, très drôle. Et quelle écriture ! Un vrai régal.
^ 19 janvier 2019, par Antoine
Heureux de vous avoir autant régalé. Merci pour votre sympathique commentaire.
18 janvier 2019, par Alexandre
C’est ABSOLUMENT génial ! Je ne me suis jamais autant amusé à la lecture d’un livre. A quand le tome 2 ?
Merci pour votre enthousiasme. Le tome 2 est en préparation et paraîtra un jour ou l’autre, si le premier rencontre un succès suffisant. Bien à vous.
18 janvier 2019, par Vespucci
Très, très drôle. Comme écrivait Jules Renard à propos d’Alphonse Allais, vous êtes un grand écrivain !
C’est plutôt vous qui êtes un grand lecteur ! Merci beaucoup.
18 janvier 2019, par Jean-Baptiste
Quand on allie l’esprit et l’intelligence, l’érudition et l’humour, le style et la fantaisie, on obtient quoi ? Un wapiti ! Merci pour cet excellent moment de lecture.
Le Wapiti vous remercie et vous salue bien bas !
18 janvier 2019, par Amalia
Je viens de terminer votre ouvrage (proprement inclassable) et vous m’avez mis du rire au coeur, un rire qui me fera du profit, j’en suis sûre, parce que je garde précieusement votre livre pour y revenir souvent. Je vous avoue que je ne sais pas ce qui chez vous est le plus digne de louange : votre érudition, votre écriture, votre humour ou votre invention. Allons, ne chipotons pas, les quatre sont admirables, et je guetterai le tome 2 avec vigilance. PS : J’ai commis moi aussi quelques textes sur ce site. Le dernier en date va être publié aujourd’hui vendredi, et quelque chose me dit qu’il pourrait vous amuser et vous plaire. Si le coeur vous en dit ("Lafcadio" d’Amalia Aguirre)...
Merci beaucoup, Amalia. Je ne manquerai pas d’aller lire vos textes et vous donnerai mon sentiment. Bien à vous.
Nory le criminel est une histoire d’une mère qui était épouse d’un officier des forces navales, son fils a écopé 15 ans de taule, alors que sa mère est divorcée et est devenue vendeuse de ses charmes, un américain l’a coursée après un voyage à Miami puis à (…)
Naître et grandir à Limoilou dans les années 50 et 60.
Bonjour Yves, as-tu eu des difficultés à t’endormir comme tu le craignais ? Bonjour Prêtresse, oui un peu, j’ai longtemps cogité ! Ce fameux désir m’a turlupiné, j’admets que tu as raison, oui chaque geste que je fais est forcément sur un désir