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Accueil > Autobiographie - Témoignage - Autofiction > Une histoire qui dérange
j’espére que mon témoignage peut aider d’autres femmes nous ne sommes pas que des mères la vie est un cadeau il faut vivre et profiter de tous les petits bonheurs comme beaucoup de femmes j’ai fait ce que j’ai pu aucune de nous n’est préparée à l’irrationnel
Ce livre une histoire qui dérange est une autobiographie née en 1945, 5ème enfant d’une famille modeste, des parents âgés, la guerre a empêché mes ainés de faire des études secondaires, ce sera pareil pour moi, mariée et mère très jeune, je me trouve confrontée aux colères d’un mari paranoïaque, femme soumise malgré moi, je me bats pour sortir de cet enfer sans diplôme, difficile de partir, il y a les enfants leurs études, j’ai enfin réussi à reprendre des études et obtenu le diplôme d’infirmière d’état, les enfants sont grands, diplômés, mariés, mais je n’ai pas su empêcher les répercussions graves des traumatismes de leur enfance, sur leur vie d’adultes et j’en paie les conséquences, je suis libre, mais je vis seule, rejetée, malgré tout, j’essaie de vivre
Lorsque l’on me demande pourquoi je vis à Agadir au Maroc, je ne sais que répondre. Un choix ? Non, pas vraiment, plutôt une série d’événements, ou alors le destin. C’est une longue histoire. Déjà, je suis née au Maroc, surnom de la cité ouvrière d’une petite ville du Nord de la France où j’ai passé mon enfance. On nous appelait « les habitants du Maroc ». Cette appellation provenait de l’origine de cette cité, construite par des ouvriers Marocains au début du XXe siècle, ils avaient été ses premiers habitants.
La guerre 1914-1918 a été une véritable hécatombe pour les hommes, combattants, résistants ou seulement présents au mauvais endroit, au mauvais moment, victimes de bombardements ou passés par les armes. Après la guerre, dans un pays totalement dévasté, la pénurie de bras était tellement importante que les femmes ont dû sortir de leurs foyers pour travailler dans les usines, descendre dans les mines de charbon, travailler la terre…etc.
Ce Petit manuel est dédié à tous ceux qui n’ont pas « les dents longues », qui n’ont pas la « niaque », la « hargne », la « rage » ; à tous ceux qui n’ont pas plus d’ambition professionnelle que de volonté de gravir coûte que coûte les différents (...)
Quand la violence sévit, c’est le marteau et l’enclume qui s’ y imposent et la prière est vaincue…
À travers un collage de divers textes (prose, poèmes haïkus, récits de rêve et autres), le journal / chant intérieur d’un homme venu se perdre sur un bout de montagne…
27 septembre 2020, par assis
je suis intéressé par votre livre car je finis actuellement l’écriture de mon autobiographie.