18 chapitres, pour une écriture simple à lire, mais facile à comprendre sans artifice, du sentiment, de la cruauté, du risque, du danger, du drame,de la récompense, du savoir, etc..
« Je dédie ce roman à mon plus cher ami sans omettre ceux qui ont perdu un ou une de leurs poches victimes de cette maladie rarissime « maladie de Charcot ».
El-Djazaïri ou l’Algérien, un pseudonyme qui valait à un des premiers communiste-bolchévique algérien d’être qualifié, en 1933, de "collaborateur de la police" par un PCF qui préparait sa dérive politique et idéologique.
16 octobre 2022, par Coromina
Je me suis engagé en 1950 guerre d’Indochine démobilisé en 1955 comme caporal.Infirmier de 1956 a 1959 de 1960 a 1991 Douanes retraité comme capitaine.Actuellemen âge de 91 ans.
16 octobre 2022, par Coromina
Né en 1931 a Barcelone sous les bombardements pendant la guerre,exode interné camp de Rivesaltes en France.Installes avec ma famille a Perpignan.Grande guerre pere interné par la gestapo camp du Vernet d’Ariege.Assigne a residence a Esperaza Aude.pere décédé juin 1948,mère abandonné a 16
ans fuite en Espagne mis en prison 6 mois puis expulsé et engagement Legion Etrangere a Marseille 1950 guerre Indochine libere en 1955.la suite a déjà été écrite.
3 mai 2020, par pepin Bsh
Mème si c’est admirable pour un étranger ayant appris le français dans la légion d’avoir écrit un tel livre, c’est dommage que ce récit n’ait pas été relu par un vrai francophone, car par moment la lecture est difficile.
Je ne conteste pas la véracité des exemples évoqués, mais je regrette qu’aucun point positif n’ait été signalé. Car passer 10 ans dans la légion et ne rien retenir de bien est assez inexplicable.
Les cas évoqués sont sans doute vrai, mais à coup sûr ne représentent qu’une infime minorité, car si ce qui est dit était une généralité, ça ferait bien longtemps que la légion n’existerait plus...