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Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Nathan Storh referma le dossier des derniers cas pathologiques rares et soupira. Douze heures de travail et il ressentait déjà la fatigue d’un homme qui en avait trop fait. Lui, qui une année plus tôt pouvait encore travailler seize heures d’affilées sans sourciller. Il n’affichait qu’une bonne quarantaine et ne faisait pas l’âge de ses artères, il était encore sportif et svelte. Enfin si on peut appeler sportif un type qui couvre deux bornes à pied jusqu’à son cabinet tous les matins, quant à la ligne… pour la conserver il s’efforçait de ne pas trop manger de sucreries. Il se leva, et ne put s’empêcher de jeter un dernier coup d’œil sur les dossiers posés sur le bureau en imitation acajou ; « Cas pathologiques ; Claustrophobies, arachnophobie, agoraphobie, et des phobies non répertoriées, linophobie, pantaphobie, gastrophobie et mille autres maladies et déviations psychiques qu’il côtoyait journellement. Il se cala plusieurs dossiers sous le bras afin de pouvoir continuer à les étudier à la maison. Il savait ce qu’il risquait, mais c’était plus fort que lui, ses cas pathologiques le suivaient partout, comme s’ils étaient à lui, sa propriété, son péché mignon.
Ce troisième volet voit naître l’intense désespoir que suscite le retour du Vactarh, mais là encore Silbbus devra donner tout ce qu’il a... et même parfois transgresser les règles. Le duc sera emporté lui aussi vers le tourbillon événementiel, son (…)
2012
Vactarh Le duc Siân recrute ses alliés au fil du pèlerinage qui l’amènera sans doute à la gloire... ou à la mort. Le royaume de Caldénée est exsangue, Tallârk, son ennemi triomphe.
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20 mars 2008, par Gilbriz de Warbatijn
Roman traumatisant de par sa longueur excessive. Le lecteur s’en extirpe avant la fin, torturé par une indigestion littéraire. Quant au style, il manque cruellement de maturité, et confère la dérangeante impression que l’auteur n’est pas suffisamment armé pour affronter un lectorat adulte. Plus de rigueur et de majesté conféreraient au récit une plus grande envergure. De plus, les énumérations intempestives et le manque de connecteurs logique conduisent à un ensemble plutôt insipide. De surcroît, l’originalité employée dans cette oeuvre, et qui devrait rendre attractive tout ouvrage qui se respecte, produit dans ce cas-ci l’effet inverse, et donne à l’action un caractère trop invraisemblable et difficile à avaler. Cependant, les efforts fournis pour engendrer ce roman ne sont pas à négliger. Le lecteur sent parfois une rélle volonté de séduire, et a envie de se plonger dans l’histoire narrer. Un conseil : acquérez plus de maturité pour progresser, et donner de l’étoffe à votre récit.
Un homme était assis au comptoir d’un bar du centre ville. Du haut de sa chaise, il fixait son verre vide d’un regard absent et faisait tourner son index à l’intérieur de celui-ci. Pendant un bref moment il s’était assoupi. Son verre se brisa par terre et (…)
La porte de l’ascenseur résonna douloureusement encore longtemps après s’être fermée, dans un crâne où un tout n’était que souffrance lancinante et répétitive. Cette migraine le torturait depuis maintenant une heure, qui semblait à Harry une éternité bien (…)
Elle est revenue. Mais qu’est-ce que je lui ais fait à cette dame ? Depuis près de deux mois, elle se présente toujours chez moi et il paraît que je suis la seule personne à la voir. Une fois, j’étais avec un ami dans le salon de ma maison. On discutait (…)