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Nathan Storh referma le dossier des derniers cas pathologiques rares et soupira. Douze heures de travail et il ressentait déjà la fatigue d’un homme qui en avait trop fait. Lui, qui une année plus tôt pouvait encore travailler seize heures d’affilées sans sourciller.
Il n’affichait qu’une bonne quarantaine et ne faisait pas l’âge de ses artères, il était encore sportif et svelte. Enfin si on peut appeler sportif un type qui couvre deux bornes à pied jusqu’à son cabinet tous les matins, quant à la ligne… pour la conserver il s’efforçait de ne pas trop manger de sucreries. Il se leva, et ne put s’empêcher de jeter un dernier coup d’œil sur les dossiers posés sur le bureau en imitation acajou ;
« Cas pathologiques ; Claustrophobies, arachnophobie, agoraphobie, et des phobies non répertoriées, linophobie, pantaphobie, gastrophobie et mille autres maladies et déviations psychiques qu’il côtoyait journellement. Il se cala plusieurs dossiers sous le bras afin de pouvoir continuer à les étudier à la maison. Il savait ce qu’il risquait, mais c’était plus fort que lui, ses cas pathologiques le suivaient partout, comme s’ils étaient à lui, sa propriété, son péché mignon.
Ce troisième volet voit naître l’intense désespoir que suscite le retour du Vactarh, mais là encore Silbbus devra donner tout ce qu’il a... et même parfois transgresser les règles. Le duc sera emporté lui aussi vers le tourbillon événementiel, son (...)
2012
Vactarh Le duc Siân recrute ses alliés au fil du pèlerinage qui l’amènera sans doute à la gloire... ou à la mort. Le royaume de Caldénée est exsangue, Tallârk, son ennemi triomphe.
2012
Un policier aux dons surnaturels enquête sur des meurtres en série dans un lieu qui semble hors du temps...
HENRY et son grand père manipulés par des gens de leur futur voyagent dans des époques antérieures à leur présent et finissent par se retrouver devant Antioche lors de la première croisade en 1098.
Je la voie toujours au même endroit, assis sur un banc, les mains entre les jambes. C’est une belle jeune femme. Elle porte toujours cette magnifique robe et ce petit gilet si attirant.
20 mars 2008, par Gilbriz de Warbatijn
Roman traumatisant de par sa longueur excessive. Le lecteur s’en extirpe avant la fin, torturé par une indigestion littéraire. Quant au style, il manque cruellement de maturité, et confère la dérangeante impression que l’auteur n’est pas suffisamment armé pour affronter un lectorat adulte. Plus de rigueur et de majesté conféreraient au récit une plus grande envergure. De plus, les énumérations intempestives et le manque de connecteurs logique conduisent à un ensemble plutôt insipide. De surcroît, l’originalité employée dans cette oeuvre, et qui devrait rendre attractive tout ouvrage qui se respecte, produit dans ce cas-ci l’effet inverse, et donne à l’action un caractère trop invraisemblable et difficile à avaler. Cependant, les efforts fournis pour engendrer ce roman ne sont pas à négliger. Le lecteur sent parfois une rélle volonté de séduire, et a envie de se plonger dans l’histoire narrer. Un conseil : acquérez plus de maturité pour progresser, et donner de l’étoffe à votre récit.