Mohamed BENKHEDDA né en 1921 en Algérie, militaire de carrière en retraite, ancien combattant de 39/45 raconte des tranches de vie à travers des petites histoires anecdotiques.
Je suis cassée, brisée, détruite, abattue. Je pourrais sortir encore plusieurs autres mots décrivant l’état actuel dans lequel je me trouve.
Il paraît que Rossini était paresseux et gourmand, (je l’ai entendu à la radio). Lorsqu’il lui arrivait de faire tomber une feuille, il ne la ramassait pas. Je me souviens qu’autrefois à l’usine, j’avais avoué à une collègue de travail que lorsqu’un objet (…)
3 avril 2018, par Fanny Dumond
Ayant vécu votre situation durant mon enfance, votre autobiographie est loin de me faire sourire. Je suis particulièrement réceptive à votre témoignage très puissant qui analyse dans les moindres détails le mal-être qu’engendre la timidité maladive. Ce cercle vicieux de votre souffrance est décortiqué au scalpel. Un grand merci à vous pour cette lecture qui m’a fortement interpellée et bravo pour votre courage à dire votre peur de toujours mal faire qui vous a empêché de vivre sereinement votre prime jeunesse. Je suis très heureuse de constater que votre infernale souffrance est maintenant loin derrière vous. Je vous souhaite une bonne continuation dans la fabuleuse aventure de l’écriture. Cordialement. Fanny
^ 4 avril 2018, par haissama
@fanny merci énormément pour votre lecture et compréhension.c’est très encourageant. j’étais gravement accablé par la souffrance de la timidité mais j’ai pu grandement me soulager en écrivant ses maux que j’avais encore sur mémoire. merci beaucoup . sincère amitié.