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Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Ce roman contemporain a été initialement inspiré par un fait-divers bizarre publié dans la presse. Cependant, à l’exception de ce point de départ repris dans le récit, toute ressemblance avec des faits ou des personnes réels serait purement fortuite.
Voler la carte bancaire d’un retraité, c’est facile. Mais après, ça se complique : il faut obtenir le code, empêcher la victime du vol de faire opposition et de porter plainte, ce qui vous amène par conséquent à cacher le cadavre pour que sa caisse de retraite continue d’approvisionner le compte en banque. Et vos tracas ne sont pas finis : par la suite il faut pouvoir se procurer la nouvelle carte quand la première est périmée. Mais votre vrai problème, c’est si vous tombez sur des enquêteurs de la police judiciaire qui ont pour principe – on se demande bien pourquoi – de mettre les malfaiteurs en prison.
A l’époque où les Terriens du paléolithique allumaient leurs premiers feux domestiques il y a cinq cent mille ans, le niveau technologique sur la planète Vulcain était celui des Terriens actuels. Du fait de cette antériorité, l’avenir des Terriens (…)
2021
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7 juin 2021, par Al. O’Wolf
J’ai adoré l’intrigue autour de la carte bancaire. Et je dois avouer que la fin m’a un peu surpris. Vous avez osé jusqu’au bout de votre récit. Bravo !
1er janvier 2022, par Jumiège
Bon polar, j’ai bien aimé, par contre pourquoi s’en prendre à un petit vieux sans défense, c’est lâche ; quelques attaques sur la politique qui n’apportent pas grand chose dans ce récit.
^ 24 janvier 2022, par Davy Cosvie
Qu’un malfaiteur soit un lâche, ça me semble la moindre des choses. Et c’est d’ailleurs assez réaliste. Quant aux allusions politiques, je ne vois pas de quoi vous parlez.
^ 25 janvier 2022, par Benoît Préchart
Les réflexions politiques, qui sont plus exactement des remarques de comptoir, font partie de l’ambiance bizarre l’époque. De la même façon que les masques anti-covid et les militaires qui patrouillent dans les rues avec des armes de guerre chargées. Quand l’exceptionnel devient normal, on doit s’attendre à tout : pour moi, ça fait partie de l’ambiance de cette histoire qui s’appuie sur un fait divers incroyable mais vrai.
Jeudi 20 octobre 1960. Comme chaque matin, Landrieux allait prendre son train. Il passait tous les jours devant une cabine de photomaton.
Palladium, dans une enquête anodine sur un jeune de bonne famille, balloté entre Annaba et Oran en passant par Béjaia, évolue dans le monde de la nuit où les plaisirs et les crimes sont les seuls maîtres.
Il était prêt à commettre un acte de folie rien que pour obtenir ne serait-ce qu’un regard de sa mère.