Je fermai les yeux et l’ombre disparût. Les gouttes suaient de mon front comme des perles d’eau d’une stalactite. J’avais réussi à m’habituer à sa présence. En effet, elle m’était déjà apparût pas mal de fois et j’avais compris qu’elle ne me ferait pas de (…)
2005
Chloé marchait dans la rue. C’était un soir d’été, il faisait chaud, et il était aux alentours de dix heures. C’était une fille de seize ans, aux cheveux noirs et aux yeux bleus. Elle avançait lentement, tenant quelque chose dans sa main droite : un énorme (…)
Quand Guillaume Carver se réveilla, il ne réalisa pas où il était. La pièce dans laquelle il reposait était minuscule et le petit lit où il était étendu était horriblement inconfortable. Sa première pensée fut : Où suis-je ? Il inspecta autour de lui. (…)
Le vent du désert pourra toujours souffler, les dunes pourront changer de couleurs et de place rien n’y fera les caravanes de dromadaires continueront à tracer leurs chemins. Dans ce pays ou vie Moctar, le berger Mauritanien, l’océan,le sable et les (…)
16 mai 2005, par Jean-Michel
j’ai trouver super bien votre nouvelles je l’ai bien aimer je vous félicite continuer a écrire des nouvelles fantastiques aurevoir
16 mai 2005, par Jean-Michel
C’est vrai que c’est vraiment tres bien ecrit, mais il parait que la critique ca fait avancer, alors juste une mini critique sur ce passage
Une bombe aurait pu exploser à coté d’eux, qu’ils ne s’en seraient même pas rendus compte. Soudain, le clapotis de l’eau les décrocha de leurs échanges
Pourquoi si une bombe ne les derangerai pas et le clapotis de l’eau oui ? Enfin , il n’y a que ca qui m’a derange