Je fermai les yeux et l’ombre disparût. Les gouttes suaient de mon front comme des perles d’eau d’une stalactite. J’avais réussi à m’habituer à sa présence. En effet, elle m’était déjà apparût pas mal de fois et j’avais compris qu’elle ne me ferait pas de (…)
2005
Je ne sais pourquoi, j’avais envie d’écrire la mémoire d’une paire de chaussette. Cela faisait rire mon entourage. Pourtant, un matin, une paire de chaussette en pur coton a bien voulu se confier un peu. Elle m’a autorisé à vous rapporter ces propos.
Gorgui sortit de la douche, se nettoya calmement, en chantonnant, le corps avec sa serviette. Il sortit son plus beau costume qu’il déposa sur le lit. Après s’être habillé comme pour un grand jour, Gorgui se dirigea vers le grand miroir qui se trouvait (…)
Debout dans sa cuisine, Max saupoudrait sa tranche de colin d’échalotes émincées. Il faisait cela machinalement, son esprit était ailleurs. Fred, son demi-frère, occupait toute la place dans sa tête depuis deux jours,
16 mai 2005, par Jean-Michel
j’ai trouver super bien votre nouvelles je l’ai bien aimer je vous félicite continuer a écrire des nouvelles fantastiques aurevoir
16 mai 2005, par Jean-Michel
C’est vrai que c’est vraiment tres bien ecrit, mais il parait que la critique ca fait avancer, alors juste une mini critique sur ce passage
Une bombe aurait pu exploser à coté d’eux, qu’ils ne s’en seraient même pas rendus compte. Soudain, le clapotis de l’eau les décrocha de leurs échanges
Pourquoi si une bombe ne les derangerai pas et le clapotis de l’eau oui ? Enfin , il n’y a que ca qui m’a derange