La Prêtresse Aya sur son banc sous le Tilleul retrouve la sérénité de « sa paix intérieure » Qui lui avait tant manqué ! Car sa dernière mission ne lui accordait pas de répit, ni la possibilité de se d’étendre, son engagement naturel sans limites, dans (…)
Je m’appelle Linda, je vis avec un copain, lequel ; je savais je ne finirais pas mes jours avec. Il fait des petits boulots, mais je n’ai jamais vraiment sut lesquelles.
L’affaire ukrainienne et ses répercutions sur la paix et la stabilité mondiale a soulevé le courroux de l’auteur qui essaie dans ce roman d’éveiller la conscience humaine.