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1957, en pleine guerre d’Algérie, jeune médecin, militaire français, Jean se marie , avec Alicia .Il accepte une mission de trois ans au Sénégal, à l’hôpital militaire de Ouakam à Dakar. Il fait une rencontre qui va bouleverser sa vie.
Il fait une chaleur caniculaire sur la cité phocéenne. Jean est dans son grenier.
Il range des livres, des cartons de souvenirs de sa jeunesse. Il tombe sur de vieux objets de sa vie passée entre 1957 et 1960 en Afrique.
Dans un placard, il retrouve, un vieil uniforme de l’armée coloniale avec un casque blanc. Des photos jaunies qui traînent en noir et blanc, quand il était jeune homme.
Au fond du placard il trouve un portrait peint : une belle jeune femme africaine. Par mégarde, il fait tomber le cadre qui se brise et laisse apparaître sur le sol un vieux papier froissé.
Étonné et curieux, il l’ouvre et découvre une lettre à son intention.
« Joal le 02 octobre 1959,
Sous le baobab du village, je t’attendrai tous les soirs au coucher du soleil. Viens seul. J’ai un secret à te dévoiler nous concernant. Notre amour ne peut suffire à cette absence ... Je vais partir pour Saint-Louis où mon père m’a inscrite dans un couvent Catholique « Notre Dame aux Milles Lumières. » pour ne plus que l’on se voie. Il se refuse à comprendre et entendre mon amour pour toi… Je t’aime. Aïssata. »
Jean est bouleversé, Les flashes lui reviennent en boucle, le visage de Aïssata rayonnant de bonheur et criant son nom sur le bateau qui la ramène à Dakar… c’était sur l’île de Carabane en Casamance. Il y a plus de 20 ans, déjà.
C’est à Madagascar ,que Maéva, professeur de langue française vit une histoire d’amour avec jandra au moment des événements de la révolution, elle doit, s’expatriée en France, sa vie va complètement changer.
2020
Voici un florilège de quatre-vingts textes conçus comme autant d’éclats de rire. L’auteur les a voulus brefs, mordants et tirés des multiples domaines de l’art comme de la vie courante. Pour pimenter l’humour qui s’en dégage, il a enchâssé entre eux les images (...)
"...et aboyer, et aboyer encore, comme ça, sans raison, simplement parce qu’on est content de son espèce toute entière, parce qu’on se trouve plus fort que le monde entier, et qu’on est content, content, content... Puis se rouler les uns sur les (...)
Une poudre blanche et rosâtre sème la zizanie aux quatre coins du globe