Libérez vos mots, lisez sans limite ! Publiez et découvrez gratuitement

Accueil > Littérature > Naissance d’un Royaume

Naissance d'un Royaume

Naissance d’un Royaume

Etienne Palle (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 119

Version publiée le 13 septembre 2017

Les statistiques du livre

306 lecteurs ont feuilleté le livre

221 lecteurs ont inclus ce livre dans leur bibliothèque.

Note Moyenne : 3/5 sur 2 votants

Evaluer le livre


Thème : Littérature

La quatrième de couverture

Deux femmes, un homme, aux horizons incertains, se croisent en quête de pré carré. Leur rencontre est décisive. Voyageurs enthousiastes, passagers involontaires d’une épopée qui les dépasse, ils vont s’aimer, se déchirer, se recomposer. Leurs destins sont scellés. Face à la mort qui sépare, l’amour devient credo fédérateur. A Strasbourg, entre Paris et Moscou, nos marcheurs se confrontent au péril de leur vie. Sans raison apparente, une jeune femme est assassinée. L’ingénieur Georges Ostar est formellement accusé. Arpagie ne doute pas un instant de l’innocence de son mari, elle est son ange gardien, sa bonne étoile. Bientôt, les évènements se bousculent, des obstacles se dressent, augurant un mal pour un bien, une chance d’espérer. Pour Georges, à quelque chose malheur ne peut être bon. Alors que l’enquête piétine, l’intrigue se noue au coeur d’une tentative d’espionnage industriel. Acteur malgré lui d’une guerre inédite, mêlant soldats du passé et amants obscurs, Georges connaît l’amour indicible. Natacha le séduit, l’envoûte. Survient une crise migratoire d’une ampleur sans précédent qui balaie les frontières, change les codes. Devant les évènements, l’emblématique jeune femme, officier du renseignement russe, s’arroge les pleins pouvoirs. Georges choisit un autre destin, Arpagie meurtrie nourrit le fol espoir d’être heureuse à nouveau. Face au danger, Natacha martyr devient une légende où l’amour est plus fort que la mort. Loin du bonheur calme, dont ils se savent exclus, nos visiteurs trouvent le chemin dans la traversée des villes et des terres. Si le paradis est à jamais perdu, ils suggèrent, à l’aune d’un territoire infini, qu’il règne ici-bas un jardin, à portée de la main, où flotte encore le parfum des délices.

La première page

On compare souvent les grandes villes à des prostituées qui racolent visiteurs et touristes, offrent leurs ventres mous sur des étals de marchés. Chaque jour, leurs buttes enchanteresses sont montées, leurs cœurs sacrés profanés. Dans leurs entrailles, des artères ferrées déversent passagers et clients à des stations trop longues pour être honnêtes. Leurs bouches ébahies aux trottoirs maquillés exhibent leurs palais envahis de langues étrangères.
Les villes gourmandes sont des femmes rieuses qu’il faut conquérir et occuper. Leurs lignes de toits et de coupoles ressemblent à des seins charnus. Villes-femme réputées imprenables, construites de toutes pièces, accumulant richesses protectrices et nourricières, elles dominent le cœur des hommes. Habitants des villes sujets au désespoir, ils oublient la vertu du courage qui les anime, l’enthousiasme qui comble leurs consciences.

  

Biographie de Etienne Palle

Passionné de littérature et de politique c’est mon premier roman.

Autres(s) parution(s) de l'auteur

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Dans le même rayon : Littérature

les escarbilles s'envolent

les escarbilles s’envolent

L’histoire se passe dans les années 1980 à Toulouse et ses environs. Histoire d’un jeune homme, il n’a que vingt ans (loin d’être un adulte mais plus un adolescent), qui a quitté sciences po pour se lancer dans l’aventure d’un hebdomadaire régional et qui (…)

Ma chère ennemie

Ma chère ennemie

Midi sonna sur la vieille horloge du salon, au fond de l’étroit couloir qui menait à l’appartement des Fonssiers, personne ne l’entendit ,dans le restaurant c’était déjà la cohue, la porte d’entrée s’ouvrait et se refermait à chaque instant faisant à (…)

Vaine illusion

Vaine illusion

Si la vie porte le manteau de la survie et qu’une once de soleil ponce l’horizon pour y poindre, c’est parce qu’au fond de l’océan, lit nuptial de l’espoir, la dernière couche vivante de l’amour existe encore. Mais elle tend à faiblir.