Accueil > Littérature > Ma chère ennemie
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Midi sonna sur la vieille horloge du salon, au fond de l’étroit couloir qui menait à l’appartement des Fonssiers, personne ne l’entendit ,dans le restaurant c’était déjà la cohue, la porte d’entrée s’ouvrait et se refermait à chaque instant faisant à chaque fois cliqueter les petites barres d’aluminium qui y étaient accrochées, une jeune femme allait et venait entre les tables, c’était la fille des Fonssiers, la charmante Jeannette, élancée, souple, débordante de vitalité, tout son corps respirant la jeunesse et l’insouciance, on la demandait partout en même temps et elle arrivait avec sang-froid à faire parvenir toutes les commandes des clients avec une justesse admirable, sa mère qui s’occupait de la cuisine et son père qui était à la caisse n’avaient pas à se plaindre, grâce à Jeannette ils n’avaient recruté qu’un seul employé : Pierre ,un jeune garçon de 19 ans qui s’occupait des corvées et de la vaisselle...
– Et voilà mon père ! Un pot-au-feu comme on en fait plus ailleurs, bon appétit. – Merci mon enfant. Le curé regardait Jeannette s’éloigner avec réprobation .Depuis son veuvage, la jeune femme menait une vie peu orthodoxe, il l’avait surpris plus d’une fois entraînant un client au fond du couloir et s’enfermer avec lui pendant une heure ou deux dans sa chambre, il en voulait tout particulièrement à ses parents, tout à fait conscients de ses pratiques et laissant faire les choses sans jamais réprimander leur fille. Mais ici le pot-au-feu était bon et lui aussi fermait les yeux sur les péchés de la serveuse pour venir le déguster.
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5 août 2006
Texte excelent. Un conseil, donner à lire avant toute publication. Bon courage.
27 février 2006, par Jean-Michel
Bravo à cet auteur qui nous a fait réfléchir sur les raisons à publier une histoire non fantastique. La raison majeure c’est que l’on a aimé cette histoire. C’est une belle rencontre avec une époque passée, mais également présente chez nos parents. De l’amour, une construction et un style qui nous a fait chaud au coeur.
Bravo !!!
Continuez...
^ 9 avril 2006, par Rym
Je constate quotidiennement des lectures supplémentaires de la nouvelle que j’ai publiée, mais malheureusement peu de critiques suivent... Je suis une débutante dans le domaine de l’écriture et je serai ravie de recevoir des commentaires pour améliorer mon style et identifier mes lacunes. Merci d’avance
Je suis Sophie Morante, chirurgien dans un grand hôpital Parisien. Il est 6 H 30 le matin, je me dépêche je dois conduire ma fille à l’école. Souvent, et selon mon emploi du temps c’est ma mère qui me la garde. Je reçois un appel. Ce sont les urgences qui (…)
À partir de 418, Toulouse est la capitale d’un royaume Wisigoths gigantesque par sa superficie. Ce livre a pour objectif de vous raconter au mieux l’histoire méconnue et pas ordinaire des cinq rois wisigoths qui vont régner à Toulouse de Théodoric Ier à (…)
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