Accueil > Littérature > Le jeu du destin

Littérature

Le jeu du destin

Wiame Diouane (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 5

Livre publié le 18 janvier 2020

Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Les statistiques du livre

452 vues
400 téléchargements au total.
1 téléchargement sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui
284 PDF depuis le début
69 Epub depuis le début
47 Mobi depuis le début

Evaluer le livre "Le jeu du destin"

7 votes

Note globale pondérée

4.43/5 sur 7 votants

Thème :
Littérature

La quatrième de couverture

Mon histoire raconte la vie dure des campagnards, les difficultés et les falaises que traversent les écoliers quotidiennement.

La première page

Au crépuscule , de faibles feux solaires jaillissaient, s’élançaient , armés, glorieux dans le bleu matinal. Dans un tout petit village, le petit écolier Ali efflanqué, maigre, et squelettique, marchait à grands pas dans un chemin si boueux de giboulée, où on entendit des soufflements d’un aquilon très violent, que la boue gicla sur le petit. Il traversait chaque matinée 5 km de chemin à l’école. Ses joues rosies de froideur , son petit corps gélifiait de froid sévère et de peur des chiens sauvages. Il souffrit tellement, sa mère dans sa petite masure si misérable, si vétuste et si délabrée, ne cessait guère de geindre de faibles plaintes inarticulées de douleurs, de peine, et de souffrance d’une voix gémissante, lamentable et plaintive. Son corps était délicat, fluet et fragile, un manque de force morale et une dénutrition si violente. Alors, Ali arriva et pénétra la classe en frissonnant de la crainte. Ce matin là, le maître tardait de venir, c’était une personne sale, vulgaire et sans éducation, un furax furieux roulant des yeux de braises allumées foribondes de colère folle , sans mesure, d’acharnement, de furie, et de violence extrêmes, ne cessait guère de réprimander. En résumant, un fou forcené de la frénésie et même de la fureur de vivre. Un chahut, un tabage, une agitation bruyante si terrible d’écoliers entendus de très loin, les élèves bavardaient du jargon à haute voix, pendant que le petit contemplait des fusains, des arbrisseaux à feuilles sombres et luisants à fruits rouges qui entraient d’une fenêtre. Et d’un seul coup brusque, le maladroit pénétra avec une telle arrogance malgré qu’il était mal fagoté , ficelé et d’une excessive sévérité. Il était tout édenté avec une chauve tête, et un cou poilé comme celui du dindon.

  

Biographie de Wiame Diouane

Je m’appelle Wiame Diouane. J’adore écrire les nouvelles, les textes.. l’écriture pour moi symbolise l’évidence, l’harmonie, le plaisir, la palpitation.

Du même auteur

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Que lire après : Le jeu du destin

Un espoir que Je ne souhaite à personne

Un espoir que Je ne souhaite à personne

« On m’a dit que le bonheur ne se trouve qu’en chemin alors, je marche en espérant le rencontrer. Car jusqu’ici, celui que j’ai pu goûter n’est que passagers. Il était juste une étincelle qui voulu s’allumer pour mettre un peu de folie. Moi je veux un vrai (…)

Albert Spaggiari ou la parade du fanfaron

Albert Spaggiari ou la parade du fanfaron

Albert Spaggiari et le casse de la Société Générale à Nice. Et si Albert Spaggiari n’avait pas été le vrai cerveau du casse de la Société Générale de Nice ? Naissance et vie d’une légende pas forcément basée sur les faits réels. Qui était réellement Albert (…)

Une lumière au bout du tunnel

Une lumière au bout du tunnel

Je crois que le sujet “Alcoolisme” proposé dans ce livre est de grand intérêt pour la société comme un tout. J’ai bu ma dernière dose de boisson alcoolique en octobre 1992, et jusqu’à ce jour je suis abstinent de manière continue à l’alcool et sobre.