L’atelier était plein de l’odeur puissante des roses, et quand une légère brise d’été souffla parmi les arbres du jardin, il vint par la porte ouverte, la senteur lourde des lilas et le parfum plus subtil des églantiers.
Le commencement du siècle où nous sommes fut beaucoup plus légendaire qu’on ne le croit généralement.
Où le lecteur peut être assuré que ce qu’il va lire n’a pas été imaginé à plaisir.