Je m’appelle Déborat Meunier. Je me trouvais dans le cimetière de Créteil, les hommes des pompes funèbres s’activaient auprès du cercueil de mon mari le docteur David Meunier.
Lorsqu’il retourna pour la dernière fois dans ses îles Marquises qu’il avait tant aimées, Paul Gauguin, ruiné, malade, rejeté par la critique, savait qu’il revenait pour mourir. Nous étions en 1897, et Gauguin entreprit alors de peindre une immense (…)
Dans la vie nous rencontrons souvent des choses qui nous intri-guent car difficiles à concevoir. Mais notre entendement nous permet à chaque fois d’extirper, à ces choses, leurs secrets. Y a-t-il, dans la vie, de plus surprenant que de voir une chatte en (…)
22 mars 2015, par kamal
Bravo brahim
5 janvier 2015, par Jean-Michel
Grosse mise à jour pour ce début d’année 2015 de "La mue de Boujelloud" livrée par Brahim AGHZAF.
Merci à lui et bonne lecture à tous.