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Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
La création est une dame pleine d’imagination. Parmi les êtres qui vivent autour de nous, il en est qui sont tout petits. Mais alors vraiment tout petits ! Si petits que les elfes eux-mêmes ne croient pas en leur existence.
« Vieilles légendes que sont les Gilines » Entendons-nous dire parfois lors des veillées dans le monde du Petit Peuple.
« Ces êtres minuscules qui chevauchent les gouttes, ne sont qu’illusions de l’esprit » disent les plus sages des elfes, « jamais personne n’a pu attraper un Giline, pour prouver à quiconque qu’ils existent »…
Et pourtant, moi je te le dis aujourd’hui cher ami : ils sont là ! Dans la nature et à tout endroit du monde. Ils sont autour de nous… A tout moment lorsqu’une pluie se prépare, les Gilines sont près à éclorent. Ces petits personnages sont éphémères ! Je dirai plutôt qu’ils ont une espérance de vie extrêmement minime, par rapport aux jours de la race humaine et à la journée d’un papillon !
Au court de nos échanges de mails entre l’un de mes amis écrivain et moi-même, il arriva un jour que celui-ci me pose la question de savoir si je n’avais pas le secret de fabrication d’une machine à créer du temps en plus. « Juste un peu, quelques heures (…)
2007
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21 août 2007, par Coos Laurent
Une très belle petite histoire, pleine d’imagination, qui nous entraîne dans le monde féérique des "Gilines".
Pouvoir ainsi décrire des gouttes de pluie est très fort ! Bravo !
Il est allongé au sol, dehors à la lumière et la chaleur. Sur les marches de granit brûlantes, il perçoit autour de lui l’allée et venue des premiers diptères. Eux aussi on senti que c’est pour bientôt. Sa respiration est courte et sifflante, son souffle (…)
Il n’avait pas de nom. Certain l’appelait le marcheur. Ni famille, ni ami. Ni envie, ni passion. Il était homme à déambuler, à la recherche d’elle, qu‘il avait un jour perdue. Seul, il cherchait son amour oublié.
Bien que Daniel Ballavoine ait réellement existé, cette nouvelle est totalement fictive. Il s’agit d’une extrapolation que j’ai faite à partir de plusieurs chansons qu’il a écrit. Je tenais simplement à le préciser à propos d’histoire juridique. À la (…)