Poussez Les portes violentes Poèmes éblouis Phalènes jetés sous la lampe... Je sais, Des îles de jouissance, Où des ailes en fenouil bistres nichent, Leurs langueurs de félins sous les ogives,
Victimes de la contrefaçon politique et idéologique des années d’indépendance politique, ils ne seront cités dans aucune anthologie littéraire algérienne.
Burlesques, provoquants, sans souci d’aucune cohérence, rires et pleurs, tendresse et mélancolie, simples jeux de miroir où se perd le sens, l’amour, la mort, l’ironie, transports et colères, jetés en vrac sur des feuillets épars ; oubliés là, rêvant (…)