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L’année scolaire est terminée, je peux raconter nos bêtises de cruelles adolescentes avec ce petit texte plein de « douce poésie innocente » à savourer à la plage au bord de la piscine ou dans le métro.
Le portable filma la tête qui se noyait sous la gorge profonde dans ce défilé vertigineux puis la verge coulissée entre les galbes élégants, le pauvre n’avait pas les images il glissait sur les pentes abruptes du plaisir.
1 La grille du lycée
Telle une publicité sauvage en pleine séance d’exhibitionnisme ou un vieux sac plastique qui mettrait deux cents ans avant de se décomposer il était prisonnier du grillage à l’arrière du lycée, bras et jambes écartés grossièrement ficelés pantalon et slip baissés juste le nécessaire.
Comme il était de petite taille c’est Aconcagua qui devait s’y coller pour satisfaire aux délires de Cerveza notre cheffe de gang.
Debout, la grande black le plaquait contre la clôture le visage coincé entre ses seins libres sous son débardeur et ça lui décollait les lunettes, le sexe branlé entre ses cuisses à mi-hauteur bien au-dessous du short élimé en jean qu’elle n’avait pas eu besoin d’enlever.
Elle avait croisé ses pieds de manière à bien resserrer ses chairs autour du dard brûlant et elle battait des hanches et des genoux pendant qu’il poussait des gémissements ridicules de petite chose effarouchée, de proie aux abois.
Chaque fois qu’elle le frappait on voyait le ventre céder sous son bassin la tête se perdre encore plus profondément et le sexe dur glisser entre ses cuisses. Cerveza et Alhambra l’entraînaient en lui tenant une hanche chacune, je filmais avec le portable, Chiquitta regardait et attendait son tour.
Au début le garçon tenait droit, puis s’est mis à chanceler, maintenant il se perdait son corps offrait de moins en moins de résistance.
Je devinais son souffle à travers le tissu quand la poitrine écrasait son visage et il lui bavait dessus. Il était cuit c’était flagrant bientôt il signerait sa capitulation de son encre intime.
Une nouvelle de science fiction estivale et érotique pour suer de plaisir. Un parasite femelle de l’espace lui dérobe son amoureux...
2023
Une agréable nouvelle pour se détendre à l’ére de la robotique et de l’intelligence artificielle.
2021
Avec de bonnes raisons de quitter la France, au cours d’une permission de sortie, Ted Person saisit l’occasion offerte de prendre un avion pour l’Australie, muni de papiers falsifiés et riche de sa part de butin que lui remet son complice.
John insatiable et insatisfait est un vrai don juan, il change les femmes comme on change de sous-vêtements, mais Blanche reste son seul vrai amour. Encore faut-il qu’il le sache.
Fasciné par l’obscénité des propos de ses nouveaux voisins de palier, Arthur Boilieu prend conscience de sa vie étriquée, de son mariage morne. Il fait connaissance de sa voisine...
24 décembre 2022, par Jean-Marie MÉNARD
J’aime vos textes. Merci.
^ 13 janvier, par Samia M’bodong
Merci Jean-Marie, je suis très touchée et je posterai de nouveaux textes ici régulièrement. Oui comme tous le monde j’ai mes humeurs, mes fantasmes, mes peines, mes joies. Mes visions ou mes inspirations ou intuitions… Je suis heureuse que ces sentiments résonnent en vous.
24 décembre 2022, par J3M
La couleur de la peau ne donne aucune indication sur la valeur d’une personne. Seul la manière d’être en indique ses qualités et défauts. La littérature est moyen de se délester de ses humeurs, de ses peines, bonheur ou rêve. Mercie
^ 13 janvier, par Samia M’bodong
La signature que vous avez apposé sur ce commentaire me fait penser à celui que le canard enchaîné appelait J6M : Jean-Marie Messier Moi-Même Maître du Monde