C’est un pavé jeté dans l’eau déjà bien agitée de la mare, sous un ciel ténébreux et menaçant, et dont le choc éclabousse de paillettes piquantes les visages des promeneurs arrêtés, sans salir de boue leurs vêtements...
Lancé assez fort, afin que se dispersent à la surface de la mare, les bulles de boue remontées de la vase ; il devrait, ce pavé, inciter les promeneurs au sursaut plutôt qu’au désespoir...
Les cloportes ne font pas de « stories » sur les réseaux sociaux, comme en font au kilomètre de page Facebook, les humains…
Du moins un certain nombre d’humains de toutes générations (peut-être même que les seniors et les senioresses, en stories, battent les adolescents à la course)…
Comment les cloportes, communiquent-ils entre eux ?
Nul ne le sait. Pas même les entomologistes qui s’intéressent au « langage » des insectes.
L’on peut imaginer, par des ondes, par des phéromones…
Quoi qu’il en soit, l’on n’entend rien, rien de rien, à ce que « racontent » les cloportes.
Il faudrait les imaginer, réunis en quelque endroit sombre et humide, sur le sol en ciment d’un garage ou d’une cave, entre deux caisses contenant des objets usagés destinés à être portés en déchetterie… Composant ensemble une rapsodie…