Acteur impliqué de l’Economie Sociale et Solidaire tout au long de ma vie active, je me consacre à présent, outre ma passion de toujours pour la pratique musicale, à la philosophie et à l’écriture. J’évoque tout particulièrement sous forme de témoignages romancés, parfois autobiographiques, les dégâts causés par l’élitisme forcené d’êtres supérieurs autoproclamés, forcément dévorés par le paraître. Si "Au nom du pire et du vice et du pas sain(t) d’esprit", se consacre principalement à l’obsession du paraître, sa suite, "La crasse aryenne", se consacre principalement aux multiples visages de l’élitisme.