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Luc fêtait ses vingt ans. Assis à ses côtés Jim roulait une cigarette. Luc avait son permis depuis deux ans et aujourd’hui, enfin, il possédait sa propre voiture. Il travaillait dans une librairie comme vendeur. Les deux garçons avaient une semaine de vacances en commun, ils profitaient de ce mois de juillet pour passer quelques jours sur la côte d’azur. Jim exerçait le métier de maçon dans une petite entreprise parisienne. C’était la première fois qu’ il allait voir la mer, cette idée l’excitait, même s’il ne voulait rien laisser montrer de son enthousiasme à Luc.
Ils avaient quitté la capitale depuis trois heures. Ils voyageaient de nuit, laissant derrière eux les tracas du quotidien pour quelques jours au moins. Leur destination était Menton, petit village du bord méditerranéen où la tante de Luc possédait une caravane qu’elle mettait à leur disposition. Lorsqu’ ils dépassèrent l’agglomération Lyonnaise, ils s’arrêtèrent sur une aire de repos. L’ envie de se dégourdir les jambes devint forte.
« -Et si on allait boire un café ? »...
Pendant les années 1960, Margellos, petite commune du Lot et Garonne, nichée entre pins et collines fourmille d’activités : celles de l’industrie du bois. Il s’y croise tout un panel parmi la population dont les compères, joyeux drilles, et leur (...)
Au lendemain du référendum québécois de 1995... Le NON l’a emporté de justesse. Bruno, fonctionnaire au Gouvernement fédéral, fédéraliste par opportunisme, voit sa vie être chambardée, lui qui devra maintenant travailler et vivre dans ce nouveau pays (...)
Témoignage imaginaire sur un frère disparu... l’arpenteur est un pamphlet au silence, un poème brut sur l’impossible réconciliation avec la vie, avec soi. Il est l’expression de carnets de voyages révélés à la lumière d’un rêve.
3 octobre 2017, par Jean-Paul Michut
Excellente histoire à la fois étrange et amusante, avec une fin surprenante. Le récit est bien enlevé, sur un ton simple et vif. La forme mériterait d’être un peu mieux soignée, car certaines négligences agacent le lecteur. (Pour la typographie, Grammalecte, logiciel gratuit aussi bien sous Linux que Windows, est très efficace)
Cette petite nouvelle est bien courte, mais dans le domaine du gratuit sur Internet cela n’a rien de critiquable.
Jean-Paul
28 janvier 2007, par pauline gonnaud
j’ai beaucoup aimé ce texte (malgrès les fautes de frappe ou les appostrophes manquant !)
c’était très captivant et la fin est le contraire de mon attente : je pensait à un être maléfique, une quelconque sorcière, la mort... mais non !
très bien et très agréable à lire.j’en espère sincèrement d’autres...
bonne continuation !
26 janvier 2007, par Daniel Fattore
Ange y aurait-il ? L’histoire est bonne à mon sens - peut-être un peu brute de décoffrage en ce qui concerne, notamment, l’orthographe et la typographie (guillemets uniformes partout, pas besoin de distinguer en fonction des personnages). Un plus ? Peut-être mieux cerner l’ambiance vacances en balançant du soleil partout, un soleil de plomb qui ferait chauffer les esprits (il y a de quoi faire ; les relations interpersonnelles sont déjà bien campées, mais on peut chauffer tout ça à blanc, survolter l’affaire)... et la fameuse "m... chimique" évoquée en fin de texte - tant il est vrai que celle-ci est encore plus nauséabonde sous le soleil. Cela dit, bonne continuation ! Ce fut pour moi une agréable et accrocheuse lecture.
27 janvier 2006, par elise
Salut Msieur Marchand, j’ai pas encore eu le temps de tout lire mais ça a l’air sympa, suis au boulot, j’ai imprimé les pages pour pouvoir les lire tranquillement plus tard je te dirais ce que j’en pense. Je crois à demain....
15 janvier 2006
cette nouvelle est très sympa. ton inspiration est elle venue de ton expérience personnelle.
^ 16 janvier 2006
salut merci pour le message, non cette histoire n est pas inspirée d’ experience réel