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MA VIE D’ENFANCE dans lequel Gbèmèho revient sur son enfance compliquée, dans une famille pauvre frappée par le malheur alors que sa mère se bat pour tenir le coup, est un vrai chef-d’œuvre. A
travers ce récit d’une femme forte qui affronte vaillamment les nombreuses épreuves de son existence, vous propose une belle leçon de courage et de vie. Le narrateur en louant ainsi la détermination de
sa famille et plus particulièrement de sa mère, leur rend hommage d’une façon très touchante.
Afi est une jeune fille naturellement comme les autres mais ayant une particularité. Afi dès son entré en classe de sixième est une fille avec une qualité exceptionnelle. Elle est de ces genres de fille qui ne se lève pas se faire marcher dessus ; que tu sois homme, femme, jeune ou même vieux.
Naturellement, il y a toujours ce petit garçon qu’une fille ne vas presque jamais admirer. Ce fut le cas de SONAGNON. SONAGNON est ce jeune garçon qui ne calcule personne ; que tu sois fille ou garçon, à partir du moment où SONAGNON n’a rien avoir avec toi, il s’en fou pas mal. Beaucoup sont ces filles qui le considèrent comme un égoïste. Parmi ces filles y figure Afi.
Afi n’aimait pas du tout voire la tête de SONAGNON parce que, pour la plupart des d’entre elles, SONAGNON se voir comme le plus intelligent. Mais en réalité, Afi va connaître SONANGON en classe de quatrième véritablement. Il ne se sont jamais parler mais Afi connaissait déjà SONAGNON qui venait voir des amis dans la salle de classe de Afi. Malheureusement, SONAGNON ne connaissait pas Afi et donc du coup, ne la calculait pas.
Arrivé en classe de troisième, Afi a pris l’habitude de se rendre cette fois-ci dans la salle de SONAGNON, vu qu’elle a une amie dans sa classe.
Oui, je suis comblé car j’ai, non pas une, mais trois patries : L’Espagne qui m’a vu naître, la France qui m’a donné une éducation, et le Venezuela qui m’a ouvert les yeux sur le nouveau monde.
Toujours "sacralisé" comme écrivain d’une certaine mémoire Algérienne, Albert Camus de "Misère de la Kabylie" tenait à répondre par une contre-enquête, émanant d’un "Algérien" à un "Algérianiste". René Janon, c’est de lui qu’il s’agit, reste méconnu en Algérie. (...)
Les documents suivants concernent la lente dégradation physique jusqu’à la mort, d’un patient affecté d’une maladie mentale dite bipolaire ou maniaco-dépressive. Maladie devant laquelle la psychiatrie semble pour le moment (...)
4 mars, par Ognango Nazif
Élevé en classe de terminale D vue à savalou. Village natal bantè
^ 6 mars, par Idrissou SAADOU
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