Oui, je suis comblé car j’ai, non pas une, mais trois patries : L’Espagne qui m’a vu naître, la France qui m’a donné une éducation, et le Venezuela qui m’a ouvert les yeux sur le nouveau monde.
De Begreu à Doba, pour vendre les produits de ta cueillette pour m’habiller et m’équiper en fournitures scolaires, de Begreu à Dono-Manga pour me confier à mes grands- parents, sur l’instruction de ton patron « qu’il aille chez ses oncles », de Dono-Manga (…)
Le temps est passé tel un éclair. Périclès se rend compte que sa vie n’est qu’un long fleuve parsemé d’échecs. Et sans un investissement quelconque, il se demande qui de ses trois enfants sera un bon héritier.