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Roman onirique en deux parties, "Le fol amour de Louis-le-Fou" est construit comme une fiction sur les bases historiques de la relation artistique et pseudo amoureuse (un avant-goût de l’amour fou surréaliste) qui se tissa entre le compositeur Richard Wagner (1813-1886) et le roi dit fou Louis II de Bavière (1845-1883). Une multitude de notes précisent les sources bibliographiques d’une érudition qui se présente avec humour. Dans la perspective d’une oeuvre d’art totale, le texte à la fois poétique et philosophique n’est pas envisagé comme littérature seulement, mais se complète par une bande sonore et une vidéo création qui ne peuvent pas être joints au livre.
Il était une fois un jeune homme nommé Clovis ou Ludovic, c’est-à-dire, Louis1. Né pour être roi dans un siècle où les rois n’avaient plus droit au Fou, Louis se vit donc obligé, pour être un roi complet, d’intégrer au roi le fou.
Ni sa nourrice ni son précepteur, tous les deux français, ne lui avaient enseigné la manière la plus convenable pour un roi d’avoir son Fou, même par anachronisme. Donc, avec cette préoccupation en tête, et selon une habitude déjà bien enracinée malgré son jeune âge, Louis allait souvent au théâtre, dans l’espoir d’y recevoir l’intuition providentielle que son confesseur catholique lui refusait sans pitié. Ainsi fit-il une fois de plus le jour de ses seize ans.
On y jouait l’opéra Sire Lédath, paroles et musiques de ce philosophe franco-hindou dont le nom, traduit, est à peu près celui du Riche Charretier2, descendant plus ou moins légitime ou par la fesse gauche d’un très ancien Riche Roi Pêcheur de truites, qui inspirera Schubert. Vous me suivez.
Louis en tomba follement amoureux. Ce qui est peu dire, d’où la nécessité d’en écrire le récit. Instruit du code de la courtoisie, l’amour de Louis resta secret pendant les deux premières années. Cela nous donnera le temps d’un retour en arrière.
"...et aboyer, et aboyer encore, comme ça, sans raison, simplement parce qu’on est content de son espèce toute entière, parce qu’on se trouve plus fort que le monde entier, et qu’on est content, content, content... Puis se rouler les uns sur les autres...
Dans L’AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL (L’A.O) DE LA VIE, je mets en contraste deux Vies, deux conceptions de l’Argent et de l’Orgueil. Le dernier étant un mal qui épie tous les humains, et non les humanoïdes.
Il s’agit d’une histoire d’amour de deux personnes d’obédience religieuses différentes. Yala, un Algérien de confession musulmane. Elizabeth, une Anglaise de confession chrétienne. Yala, alors étudiant en Angleterre, lors d’une inopinée rencontre avec (...)