Libérez vos mots, lisez sans limite ! Publiez et découvrez gratuitement

Accueil > Classique > Le Crime de Lord Arthur Savile

Le Crime de Lord Arthur Savile

Le Crime de Lord Arthur Savile

Oscar Wilde (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 63

Version publiée le 27 décembre 2012

Les statistiques du livre

879 lecteurs ont feuilleté le livre

910 lecteurs ont inclus ce livre dans leur bibliothèque.

Note Moyenne : 5/5 sur 3 votants

Evaluer le livre


Thème : Classique

La quatrième de couverture

C’était la dernière réception de lady Windermere, avant le printemps.
Bentinck House était, plus que d’habitude, encombré d’une foule de visiteurs.
Six membres du cabinet étaient venus directement après l’audience du speaker, avec tous leurs crachats et leurs grands cordons.
Toutes les jolies femmes portaient leurs costumes les plus élégants et, au bout de la galerie de tableaux, se tenait la princesse Sophie de Carlsrühe, une grosse dame au type tartare, avec de petits yeux noirs et de merveilleuses émeraudes, parlant d’une voix suraiguë un mauvais français et riant sans nulle retenue de tout ce qu’on lui disait.

La première page

en cours de rédaction
  

Biographie de Oscar Wilde

Oscar Wilde est né à Dublin en 1856 et meurt à Paris en 1900. Il est le fils de Sir William-Robert-Wills Wilde et de Jane-Francisca Elgen. Il commença ses études en Irlande et les termina brillamment au Magdalen College d’Oxford en 1878. Il publie des poèmes dans des journaux et revues et...

Autres(s) parution(s) de l'auteur

Le portrait de Dorian Gray

Le portrait de Dorian Gray

L’atelier était plein de l’odeur puissante des roses, et quand une légère brise d’été souffla parmi les arbres du jardin, il vint par la porte ouverte, la senteur lourde des lilas et le parfum plus subtil des églantiers.

2013

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Dans le même rayon : Classique

La jalousie du Barbouillé

La jalousie du Barbouillé

Il faut avouer que je suis le plus malheureux de tous les hommes. J’ai une femme qui me fait enrager : au lieu de me donner du soulagement et de faire les choses à mon souhait,

Poil de carotte

Poil de carotte

Je parie, dit madame Lepic, qu’Honorine a encore oublié de fermer les poules. C’est vrai. On peut s’en assurer par la fenêtre. Là-bas, tout au fond de la grande cour, le petit toit aux poules découpe, dans la nuit, le carré noir de sa porte ouverte.

Les contemplations

Les contemplations

Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants, Passer, gonflant ses voiles, Un rapide navire enveloppé de vents, De vagues et d’étoiles ;