Accueil > Littérature > LE SOUFFLE DU PRINCE BANNI
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Banni par son propre père, le roi Adjinan, pour des raisons obscures liées à d’anciennes prophéties et des complots enfouis, Kwadjo grandit loin du trône, porté par le souffle du destin. Mais l’exil n’est pas une fin — c’est le début d’une quête intérieure, spirituelle et politique. Accompagné d’alliés fidèles et confronté à des vérités douloureuses, Kwadjo découvre peu à peu que son bannissement cache une vérité plus vaste, tissée d’héritage mystique, de trahisons du passé et de sagesse oubliée. À mesure qu’il avance, il se heurte à des sages divisés, à des pouvoirs anciens, et à ses propres démons. Alors que le royaume vacille sous la menace d’un déséquilibre profond, le prince banni devra choisir : pardonner ou régner, écouter les voix du passé ou ouvrir la voie à une génération nouvelle.
La nuit était lourde, tissée de silence et de vent. Les ombres des baobabs dansaient sous la lueur tremblotante de la lune, et les étoiles semblaient pleurer le destin d’un enfant banni. Assis au pied d’un arbre, les bras enroulés autour de ses genoux, Kwadjo contemplait la vallée qui s’étendait au loin. Là-bas, derrière les collines, se trouvait Daboka, son royaume natal, celui qu’il ne reverrait peut-être jamais. Le jugement du conseil des anciens avait été sans appel. Accusé de trahison après une intrigue de palais, il avait été banni par son propre père, le redoutable roi Adjinan. Pourtant, Kwadjo savait qu’il n’était qu’un pion dans une guerre d’ambition. Son oncle, Togbé, rêvait du trône et avait orchestré sa chute en secret. — Tu dois partir avant l’aube, lui avait murmuré Nyanbé, la vieille prêtresse du temple. L’avenir de ton sang est caché dans l’horizon. Tu ne reviendras que lorsque le vent chantera ton nom. Ces paroles énigmatiques résonnaient encore dans son esprit tandis qu’il ajustait son baluchon en peau de bête. Son exil ne devait pas être une fuite, mais une quête. Les légendes parlaient de royaumes perdus, d’anciens savoirs enfouis dans les montagnes du Grand Nord. Kwadjo était déterminé : il retrouverait ces terres oubliées, découvrirait leurs secrets et reviendrait réclamer sa place. Mais la route était longue et semée de dangers. Dès l’aube, il s’enfonça dans la brousse, guidé par le chant lointain des tam-tams et l’appel d’un destin plus grand que lui.
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Je m’appelle Linda, je vis avec un copain, lequel ; je savais je ne finirais pas mes jours avec. Il fait des petits boulots, mais je n’ai jamais vraiment sut lesquelles.
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