Accueil > Littérature > L’ Histoire de la mélancolie
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Notre livre traitre de la Mélancolie et sa relation avec la littérature et la philosophie.L’ouvrage parcourt les siècles,de l’antiquité jusques les temps modernes. Ensuite,on essaie de relativiser la vie du grand écrivain Gérard de Nerval avec la bile noire ou la dépression selon l’appellation contemporaine. Enfin,nous tentons de mettre en exergue l’inhérence de la Mélancolie dans le récit du poète Aurélia ou le Rêve et la Vie.
Avec cet essai, nous allons parcourir les différentes évolutions de la conception de la mélancolie dans ses relations avec les philosophes, les poètes et les écrivains, à travers les siècles depuis plus de deux mille ans en Occident. Ensuite, nous tenterons de repérer et d’analyser en quoi son célèbre récit « Aurélia » et son poème emblématique « El Desdichado » témoignent chez Gérard de Nerval des rapports intimes entre sa problématique de grand mélancolique et sa pratique d’écrivain et de poète. La mélancolie est un terme dérivé du grec « mêlas » (noir) et « kholê » (bile), « Mélancolie » est utilisé en philosophie ,littérature, médecine, psychiatrie et en psychanalyse , pour désigner depuis l’Antiquité une forme de trouble de la personnalité caractérisé par « l’humeur noire », c’est-à-dire par une tristesse profonde , un état dépressif pouvant parfois conduire au suicide et caractérisée par des manifestations d’isolement social et d’absence de désir qui prennent ou non la forme d’un délire.
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7 avril, par Maria perle rare
Salut M Haddou
Je viens de terminer la lecture de votre livre "L’Histoire de la mélancolie" et je tiens à vous exprimer mon admiration pour la profondeur et la richesse de votre analyse. Votre exploration de l’évolution du concept de mélancolie à travers les âges, ainsi que son impact sur la littérature et la philosophie, est véritablement éclairante. En particulier, j’ai été captivée par la manière dont vous avez lié la mélancolie à la vie et à l’œuvre de Gérard de Nerval. Votre analyse de "Aurélia" et du poème "El Desdichado" offre une perspective nouvelle et profonde sur la manière dont la mélancolie peut influencer la création artistique. Votre travail m’a non seulement permis de mieux comprendre la mélancolie dans un contexte historique et littéraire, mais m’a également incitée à réfléchir sur sa présence et son rôle dans nos vies contemporaines. Merci pour cette contribution précieuse à la compréhension de ce sujet complexe. Je vous écris avec beaucoup de douceur. je suis quelqu’un de sincère, qui aime écouter, apprendre et créer des liens vrais. Quelque chose en vous m’a touchée… peut-être votre regard sur les choses. Si vous avez envie de répondre à ce petit message venu du cœur, je serais très heureuse.
Doucement, Maria, ton admiratrice
8 juin 2022, par Jean ANDRIS
Cher Collègue Grand merci pour la mise à disposition de ce beau travail. Comme vous, je suis de ceux qui considèrent que la connaissance est patrimoine de l’humanité et doit donc être mise à la portée de tous. En tant qu’historien de la médecine, j’apprécie au plus haut point votre apport au sujet. Cordialement J. Andris
Bonjour Prêtresse, oui j’ai beaucoup pensé aux belles choses que tu me dis ! En particulier j’ai bien aimé lorsque tu m’as conté ta jeunesse… ta curiosité sur les choses de la nature…
Pourquoi ces lettres posthumes à mes grands-parents ? J’ai été privé de mon grand-père paternel Louis que je n’ai pas connu, privé de ma grand-mère paternelle Marie ainsi que de mon grand-père maternel Auguste que je n’ai connus que quand je n’étais qu’un (…)
La prêtresse vient vers Yves, souriante à la pensée qu’elle va avoir le plaisir de répondre à sa curiosité