Le narrateur rencontre Aurélia à la sortie de Vintimille, tous deux venant d’Italie pour des raisons différentes. De Nice à Paris, elle lui tiendra compagnie, au cours d’une idylle décisive. Traqué par des mafiosi, ils emprunteront l’ancienne route (…)
Elle s’appelait Mira. Elle vivait dans un petit village à Vahingen, un peu plus au Sud que moi. On s’était croisé à la piscine pour la première fois où je l’ai sauvé d’une noyade. Après des années d’amitiés mêlées à l’amour qui nous réunissait, un cancer (…)
C’est un hommage à ceux qui ,en leur et à leur manière , ont orienté ma vie, guidé mes choix et m’ont permis d’être ce que je suis .