Des poésies ou ce qui en reste. Des feuilles mortes jonchent le sol. Chacune d’elles était un poème sur la branche encore verte mais l’automne est arrivé pour en dénuder l’arbre et les disperser au gré du vent.
Ces poèmes, volontairement limités en nombre, représentent la pensée profonde de l’auteur.
Un vent de poésie est passé dans mes cheveux : cheveux fous, vers fous, rimailleur fou ???