Accueil > Littérature > J’ai frappé une femme
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Extrait de presse (revue "Culture et Compagnie") : Loin de la violence annoncée, c’est une tendresse chaotique et parfois déroutante qui se raconte au fil des pages, dans une succession de quelques lettres à la bien-aimée, dont l’agencement recompose une histoire qui débute très mal et se termine abruptement. Au lecteur la surprise du plus beau mais le plus étrange poème d’amour, agissant par sa brièveté comme un électrochoc.
Une femme mariée me poursuivait de ses assiduités. Assiduités très convaincantes, car elle est bien foutue… Mais elle est mariée. Un jour, elle m’a demandé de lui écrire une lettre. Je lui ai répondu : “D’accord, à condition que tu m’en écrives une aussi.” Elle a refusé, typiquement coquette, arguant qu’elle n’avait pas l’habitude, qu’elle écrivait mal, etc. Bref, le traquenard classique. La prudence exigeait de ne rien faire pour ne s’exposer à rien. J’optai donc pour prendre le parti inverse et lui écrire un poème d’un érotisme torride décrivant ses avantages et ce que j’en ferais, en termes jolis et avec des rimes sur son prénom. Que croyez-vous qu’il advint ? La belle, d’abord amusée, puis effrayée de l’audace et n’ayant pas renoncé à être typiquement coquette, résolut de se dédouaner en cette affaire : elle montra la lettre au mari. Et le mari, que croyez-vous qu’il fit ? Il vint me trouver pour me dire merci. Où elle n’avait vu, éprise, qu’érotisme et incitation à l’adultère, lui avait lu que je prenais avec humour ses avances et que je refusais d’y succomber pour ne pas le trahir. Cette histoire véridique illustre la fragilité des témoignages humains.
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Version non illustrée des contes qui n’en sont pas tout à fait puisque le lecteur pourra trouver dans chacun d’eux des éléments qui les relient les uns aux autres ce qui en fait un tout.
Ce roman relate l’histoire N’Aïth Aïcha, en parallèle avec celle de l’Algérie. Cette tribu, porte orientale d’Alger et verrou de la Kabylie, s’est toujours opposée à l’envahisseur de l’Algérie depuis les Romains à travers Ifermen et Cyria jusqu’à la guerre (…)
Au crépuscule de sa vie, un vieillard fait un petit bilan de sa vie.